
Data di rilascio: 23.03.2003
Linguaggio delle canzoni: francese
L'amour du risque(originale) |
98, pour la FF |
Toujours les mêmes envies, pour tout le monde |
Tout le monde se dit, putain |
Je rêve de ça, si la vie me l’offrait |
Y aurait sûrement moins de mecs à coffrer |
Tu sais la nuit c’est différent |
Tu croises moins de regards souriants |
Avec nos vies de chiens |
Y a de quoi faire des histoires sans fin |
La rue en fond, plus vrai que les infos, du vécu enfin |
Tu connais le refrain, on a faim |
Et rien n’est prêt de changer, sauf |
«Les gueules des bouffons sur les billets» |
Si on s’en sort, ça changera pas la face du globe |
On est juste des têtes brûlées à la conquête du monde |
Pas de modèles, on essaie tous de se faire une place |
Si Dieu veut, nous aussi un jour on sera en… |
La nuit les yeux sont braqués, poursuivi par la BAC |
Et faut marquer des points, pour l’amour du risque |
Aujourd’hui c’est clair la vie c’est risqué |
A tous les coins de rue y a un flic planqué |
Les jeunes ont plus rien à foutre pensent à estanquer |
Le soir les loups sortent de leur tanière, ont le vice, la manière |
Partent en balade, en BM, y a pas de salades |
Un bon plan, magasin de sport, c’est parti pour la cascade |
Une patrouille de sécurité veille, le coup se fera plus tard |
Pour l’instant ça bombarde, à la Dare Dare |
Motus, mission: faut exploser des radars |
220 sur l’autoroute, même pas le cafard |
J’dirais plutôt qu’ils se marrent en fumant des pétards |
C’est l’heure de se rassasier, direction le centre-ville |
Sur le chemin, quelques belles filles |
Y paraît qu’avoir une grosse voiture, ça les attire |
Tire le frein à main pour le délire |
Dans l’action, un petit sourire |
Pour savoir si y a bon, y a pas pire |
Que des sans-pitié partis pour un fou rire |
Bien, mais elles doivent partir, et eux ont un travail à faire |
Ils doivent manger, ça leur donnera des forces pour le danger |
D’entrée, les fauves veulent tout saccager |
Brûlent des feux, ça va mal se passer |
Les flics vont les obliger de se ranger |
Rien à perdre, ils veulent leur échapper |
Pas moyen de les tromper, serrés de trop près |
Appuie sur le champignon pour pas se faire attraper |
Encapés |
, l’entrée d’autoroute la plus près |
Pas de chance, un barrage ça met la rage |
Plus de magasin de sport, la nuit au poste |
L’amour du risque gars, dans un monde critique |
Avec nos vies de chiens |
Y a de quoi faire des histoires sans fin |
La rue en fond, plus vrai que les infos, du vécu enfin |
Tu connais le refrain, on a faim |
Et rien n’est prêt de changer, sauf |
«Les gueules des bouffons sur les billets» |
De même que mes potes |
Je vois tout de mes yeux rouge sang |
Le décor d’où je sors est louche |
Comme mes gars, faut pas que je bouge sans |
La nuit le monde change d’yeux |
Et nous on zone sans enjeux |
Je suis aux anges |
En disant que je viens de là où les gens sont dangereux |
Entre amoureux du risque on se comprend |
Avant que tu ries, c’que j’dis |
Personne en classe l´apprend |
Sans gêne ni genre la nuit |
On nuit aux gens en petits commandos |
Chacun se dit, l’argent: faut que j’emmanche |
Comme Belmondo ou Jean-Paul Gaultier |
Plus rien à foutre, mec |
Tant qu’y a le pactole, nique tout |
Y a pas que toi qui lutte dans le béton |
Viens dans le coma, l’ami |
Des mômes où ils crament tout comme à Singapour ou Miami |
Une fois la lune pleine, tous plein d’alcool |
Mes gars déconnent, décollent, coincent des cognes |
Anti-condés depuis l'école |
Au Q. G, on se colle des feuilles, fume |
Puis s’assène des filles, parle, colle |
En gros, on dîne, on baise, on picole |
Chaque quartier compte son Q. G |
Ses tripots, ses jeunes en |
mandat de dépôt |
Les nerfs à fleur de peau, le manque de pot |
On connait le topo ici-bas, on y est habitués |
Comme ces hommes en habits bleus qui tuent et |
Qui se font innocenter après ça |
Dur d’avoir foi en la justice |
On s’enlise tel le Titanic |
La misère se répand de façon titanesque |
Dis-toi que ce qui m’arrive je l’ai pas choisi |
Rester docile, non mais tu veux pas que je me laisse baiser aussi |
Ici, pour les parents y a vraiment de quoi s’en faire |
Même les jeunes les plus braves ont tous leur entrée en enfer |
On représente pour l’envers du décor |
Je rap au nom des miens |
Et dès demain je continuerai encore |
Ça rapporte pas des masses, j’avoue |
Je fais ça par amour du risque |
On reste les mêmes dans la vie comme sur disque |
Au micro on lâche le grand jeu, le peps |
Je prends conscience de l’enjeu |
C’est fuir ma vie de |
clebs |
Avec nos vies de chiens |
Y a de quoi faire des histoires sans fin |
La rue en fond, plus vrai que les infos, du vécu enfin |
Tu connais le refrain, on a faim |
Et rien n’est prêt de changer, sauf |
«Les gueules des bouffons sur les billets» |
Faut plus qu’on saigne encore |
Les miens, je les aime |
Pour eux j’espère fort, sans s’dire hyper fort |
Je sais que mon groupe perfore |
On est pas des exemples |
Ma vie c’est du freestyle, man |
Nique Babylone |
Garde la tête froide, mécréant |
Sois pas mesquin mais grand |
Les alarmes sonnent toute la nuit |
Mais j’y fais plus attention |
Elevé dans le bruit |
Les mots me sortent comme la transpiration |
A chaque respiration, ma hargne monte |
Je rap pour la bravoure, par amour |
Tu sais mais faut qu’on mange, frère qu’on savoure |
Bols de caviar, s'éloigner du système bagnard |
J’ai vu trop de vies pourrir, les charognards sourire |
Merde, c’est comme une guerre, un hold-up |
Mon mic en fer, voilà à quoi il sert |
Mettre à terre, |
pas serrer des pinups, frère |
FF se dresse plus dur qu’un téton |
En tant que chacal à l’affût |
Dans la jungle de béton |
Je tire le frein à main, les mains moites |
Sales, comme Luciano |
Rap en rafale, armé de la vérité |
Ça gène les idiots |
A la tienne, poto |
Sort la JB de sous l’siège |
FF déballe quatre cent coups |
Le démon nous tend des pièges |
Tentés par le diable |
Des fruits de la défonce, mais pas défendus |
J’médite pour voir mes ennemis le crâne fendu |
On veut notre dû, bordel |
L’oseille tellement je l’aime |
J’y pense comme Faudel, fou d’elle |
Vois tout ce qui se passe à cause d’elle |
FF un clan de survivants sortis des rues sans futur |
Réunis les frères et sœurs comme les points de suture |
'Choa |
«Normal…» |
«Rien ne change…» |
Avec nos vies de chiens |
Y a de quoi faire des histoires sans fin |
La rue en fond, plus vrai que les infos, du vécu enfin |
Tu connais le refrain, on a faim |
Et rien n’est prêt de changer, sauf |
«Les gueules des bouffons sur les billets» |
Si on s’en sort, ça changera pas la face du globe |
On est juste des têtes brûlées à la conquête du monde |
Pas de modèles, on essaie tous de se faire une place |
Si Dieu veut, nous aussi un jour on sera en… |
Tu l’avais deviné |
C´est la FF, en 9−8 |
Sauf les gueules des bouffons sur les billets |
(traduzione) |
98, per il FF |
Sempre gli stessi desideri, per tutti |
Tutti pensano, cazzo |
Lo sogno, se la vita me lo desse |
Sicuramente ci sarebbero meno ragazzi da beccare |
Sai che la notte è diversa |
Incontri sguardi meno sorridenti |
Con la nostra vita da cani |
C'è una narrazione infinita |
La strada sullo sfondo, più vera della cronaca, dell'esperienza finalmente |
Conosci il ritornello, abbiamo fame |
E niente cambierà tranne |
"Bocche di giullari sui biglietti" |
Se ce la faremo, non cambierà la faccia del globo |
Siamo solo teste calde che conquistano il mondo |
Nessun modello di comportamento, stiamo tutti cercando di adattarci |
A Dio piacendo, anche noi un giorno saremo in... |
Di notte gli occhi sono allenati, inseguiti dal BAC |
E devo segnare punti, per amore del rischio |
Oggi è chiaro che la vita è rischiosa |
In ogni angolo c'è un poliziotto nascosto |
Ai giovani non frega più un cazzo di pensare alla puzza |
La sera i lupi escono dalla loro tana, hanno il vizio, la via |
Vai a fare un giro, in BM, non ci sono insalate |
Un buon piano, negozio di articoli sportivi, andiamo a fare l'acrobazia |
Una pattuglia di sicurezza sta guardando, il colpo arriverà più tardi |
Per ora è bombardamento, à la Dare Dare |
Motus, missione: far saltare in aria i radar |
220 in autostrada, nemmeno lo scarafaggio |
Direi piuttosto che ridono fumando petardi |
È ora di fare il pieno, vai in centro |
Lungo la strada delle belle ragazze |
Sembra che avere una macchina grande li attiri |
Tira il freno a mano per il delirio |
In azione, un piccolo sorriso |
Per sapere se c'è il bene, non c'è il peggio |
Solo gli spietati se ne sono andati per una risatina |
Va bene, ma devono andare e hanno un lavoro da fare |
Devono mangiare, darà loro forza per il pericolo |
Fin dall'inizio, le bestie vogliono saccheggiare tutto |
Brucia fuochi, andrà male |
I poliziotti li faranno accostare |
Niente da perdere, vogliono sfuggirgli |
Non c'è modo di ingannarli, stretto troppo vicino |
Tocca il fungo per evitare di essere catturato |
Incapsulato |
, l'ingresso autostradale più vicino |
Nessuna fortuna, una diga che mette la rabbia |
Niente più negozio di articoli sportivi, notte alla posta |
L'amore per il rischio, in un mondo critico |
Con la nostra vita da cani |
C'è una narrazione infinita |
La strada sullo sfondo, più vera della cronaca, dell'esperienza finalmente |
Conosci il ritornello, abbiamo fame |
E niente cambierà tranne |
"Bocche di giullari sui biglietti" |
Proprio come i miei amici |
Vedo tutto con i miei occhi rosso sangue |
Lo scenario da cui vengo è ombroso |
Come i miei ragazzi, non devo muovermi senza |
Di notte il mondo cambia occhi |
E siamo zona senza pali |
sono così felice |
Dire che vengo da dove le persone sono pericolose |
Tra amanti del rischio ci capiamo |
Prima di ridere, quello che dico |
Nessuno in classe lo impara |
Senza imbarazzo o genere di notte |
Danneggiamo le persone in piccoli commando |
Ognuno dice a se stesso, il denaro: devo prenderlo |
Come Belmondo o Jean-Paul Gaultier |
Non me ne frega più un cazzo, amico |
Finché ci sono soldi, fanculo tutto |
Non sei solo tu a lottare nel cemento |
Entra in coma, amico |
Ragazzi dove bruciano proprio come a Singapore oa Miami |
Una volta che la luna è piena, tutto pieno di alcol |
I miei ragazzi stanno scherzando, decollando, bloccando i dossi |
Anticondé dai tempi della scuola |
A Q.G, incolliamo foglie, fumiamo |
Poi colpisce le ragazze, parla, attacca |
Fondamentalmente, si cena, si scopa, si beve |
Ogni distretto ha il suo Q.G |
Le sue bische, i suoi giovani |
mandato di deposito |
I nervi a fior di pelle, la mancanza di pentola |
Conosciamo il topo quaggiù, ci siamo abituati |
Come quegli uomini vestiti di blu che uccidono e |
Chi viene autorizzato dopo |
Difficile avere fiducia nella giustizia |
Affondiamo come il Titanic |
La miseria si sta diffondendo titanicamente |
Dì a te stesso che quello che mi succede non l'ho scelto io |
Rimani docile, no ma non vuoi che mi fotti anche io |
Qui, per i genitori c'è davvero qualcosa di cui preoccuparsi |
Anche i giovani più coraggiosi hanno tutti la loro strada verso l'inferno |
Rappresentiamo dietro le quinte |
Io rappo per conto della mia gente |
E da domani continuerò ancora |
Non attira masse, lo ammetto |
Lo faccio per amore del rischio |
Rimaniamo gli stessi nella vita come nei registri |
Al microfono lasciamo andare il big game, il pep |
Mi rendo conto di cosa c'è in gioco |
Sta scappando dalla mia vita |
cani |
Con la nostra vita da cani |
C'è una narrazione infinita |
La strada sullo sfondo, più vera della cronaca, dell'esperienza finalmente |
Conosci il ritornello, abbiamo fame |
E niente cambierà tranne |
"Bocche di giullari sui biglietti" |
Abbiamo bisogno di più di quanto sanguiniamo di nuovo |
I miei li adoro |
Per loro spero tanto, senza dire troppo |
So che la mia band colpisce |
Non siamo esempi |
La mia vita è stile libero, amico |
Fanculo Babilonia |
Mantieni la calma, miscredente |
Non essere cattivo ma grande |
Gli allarmi suonano tutta la notte |
Ma faccio più attenzione |
Cresciuto nel rumore |
Le parole escono come sudore |
Ad ogni respiro la mia rabbia aumenta |
Rap per coraggio, per amore |
Sai, ma dobbiamo mangiare, fratello, assaporiamo |
Ciotole di caviale, allontanarsi dal sistema dei detenuti |
Ho visto troppe vite marcire, gli spazzini sorridono |
Merda, è come una guerra, una rapina |
Il mio microfono di ferro, ecco a cosa serve |
reprimere, |
non spremere pinup, fratello |
FF è più duro di un capezzolo |
Come uno sciacallo in agguato |
Nella giungla di cemento |
Tira il freno a mano, i palmi delle mani sudano |
Sporco, come Luciano |
Rap scoppiato, armato della verità |
Dà fastidio agli idioti |
Saluti, fratello |
Tira fuori il JB da sotto il sedile |
FF spacchetta quattrocento colpi |
Il demone ci tende delle trappole |
Tentato dal diavolo |
Frutti dell'alto, ma non proibiti |
Medito per vedere i miei nemici con i teschi spaccati |
Vogliamo i nostri dannati debiti |
Acetosa così tanto che lo adoro |
Ci penso come Faudel, pazzo di lei |
Guarda tutto quello che succede grazie a lei |
FF un clan di sopravvissuti fuori dalle strade senza futuro |
Unisci i fratelli come punti di sutura |
'Shoa |
"Normale…" |
"Niente cambia…" |
Con la nostra vita da cani |
C'è una narrazione infinita |
La strada sullo sfondo, più vera della cronaca, dell'esperienza finalmente |
Conosci il ritornello, abbiamo fame |
E niente cambierà tranne |
"Bocche di giullari sui biglietti" |
Se ce la faremo, non cambierà la faccia del globo |
Siamo solo teste calde che conquistano il mondo |
Nessun modello di comportamento, stiamo tutti cercando di adattarci |
A Dio piacendo, anche noi un giorno saremo in... |
hai indovinato |
È il FF, in 9-8 |
Tranne le facce dei giullari sui biglietti |
Nome | Anno |
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Le retour du Shit Squad ft. K-RHYME LE ROI, Akhenaton, Fonky Family | 1998 |
Au bout de ton rêve ft. K- Reen | 2000 |
Histoire sans fin | 2014 |