| Fabriqué dans l’amour et venu dans la haine
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| Il est là l’enfant tant désiré
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| On se demande après si ça valait la peine
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| D’aimer pour autant se déchirer
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| Agir aujourd’hui, penser après
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| Génération je veux donc j’aurais (j'veux tout niquer)
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| En pleine tempête, on ne voit jamais qui a la craie (survivre)
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| Mais qui ramassera les pots cassés (conséquences)
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| Mon esprit me ressort des dossiers
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| Que je pensais déjà avoir enfouis (traumatismes)
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| J’ai couru et enjambés tellement de fossés (débrouillard)
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| Que j’en oublierai mes plumes évanouis (police)
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| C’est fou comme tout peut paraitre si futile (éphémère)
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| Lorsque l’essentiel semble se briser (la vie)
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| En attendant que ma corvée traverse le nil (sous vide)
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| Je continue de naviguer
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| C’est fou comme on peut s’aimer, (d'amour)
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| Puis autant se déchirer
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| Nos erreurs sont longues d’effet, si ce n’est pas nous ce sera ceux d’après
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| On fabrique des monstres qui ne saurait dire ce qui est mauvais et ce qui est
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| bon
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| Foutu foutu foutu tous foutus
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| Savourer chaque nuit en craignant le matin
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| S’avouer vaincu jamais jamais jamais
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| La vie ce plan cul m’a rendu confus
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| J’ai tout retenu
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| Des galères et conflits on dit qu’on oublie
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| En vrai on s’enfuit (protection)
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| On nous élève dans la honte de la souffrance
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| Dans la honte de la réussite tout est crée pour qu’on s’enfonce
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| Dans les débris de l’enfance je me replis dans le déni
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| J’ai fuis l'église mais pas jésus donc je prie
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| Plus fort, que le père m’entende supplier le paradis
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| Mes enfants compte sur moi je ne vais pas mourir aujourd’hui
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| Sacrifié nos ressentis la haine nous anéantis
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| Puisqu’on est foutu sauvons au moins nos petits
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| C’est fou comme on peut s’aimer, (d'amour)
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| Puis autant se déchirer
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| Nos erreurs sont longues d’effet, si ce n’est pas nous ce sera ceux d’après
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| On fabrique des monstres qui ne saurait dire ce qui est mauvais et ce qui est
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| bon |