Informazioni sulla canzone In questa pagina puoi trovare il testo della canzone Abattoir, artista - Vii
Data di rilascio: 16.09.2007
Limiti di età: 18+
Linguaggio delle canzoni: francese
Abattoir |
Et si le sang t’insupporte, on déflore ta copine avec une paire de ciseaux |
N’entre pas dans les abattoirs |
Je suis le psychotique que la presse a trop cité |
L’excité sous narcotiques responsable des pires atrocités |
Procède de manière chaotique |
Te tranche la carotide, ma folie n’a d'égale que ma férocité |
Mes confessions intimes au frais dans ma cachette |
J’aime observer mes victimes dans le reflet de la machette |
Le crime: un art plastique un zeste sarcastique |
J’ai conservé ta tête et mis le reste dans un sac plastique |
Ton corps qui s’agite à quelque chose de magique |
Tes frayeurs seront au-delà de ce que tu imagines |
Ecoute cette sonatine, c’est ton ultime berceuse |
Enfonce-toi bien ça dans ton crâne perforé à la perceuse |
J’ai la rime biseauteuse pour te couper les couilles bâtard |
Et je m’attarde sur ta dépouille avec une scie sauteuse |
Aucun échappatoire dans mon laboratoire |
La mort t’ouvre ses portes alors bienvenue dans les abattoirs |
Attirés par le son, les cafards sont restés |
Moi je suis un ourson sur un buvard LSD |
Le crâne en compote quand le tempo m’emporte |
Une carcasse de porc sur les épaules mon pote |
Un style sordide bientôt incontesté |
Car je baiserai des corps infestés d’MST |
Passe-moi le hachoir et si le sang t’insupporte |
N’entre pas dans les abattoirs |
Cruel et sombre à l’image de ce monde |
Le nez dans l'écuelle hors des modes actuelles |
Je cultive mon horreur, m’endors à l’aurore |
Mon sommeil se colore de sang et de sueur |
Esclave de Satan quand mes penchants m’accablent |
Rêveur lunatique je me nourris du macabre |
Isolé dans mes abus, je n’ai pas de pitbull |
Mais les recettes cannibales inventées par Ottis Toole |
Sur ce track, je détrousse et trucide |
Amateur de bondage et de sous-sols humides |
Comme dans Maniac j’entre dans ta baraque |
Détraqué les mains dans la barbaque |
Toi et ton équipe serviront de gibiers |
Et si t’es patraque fais un test HIV |
Rédigé sur une obscure mélodie |
Ma mère me l’a dit, j’ai frisé l’IVG |
Attirés par le son, les cafards sont restés |
Moi je suis un ourson sur un buvard LSD |
Le crâne en compote quand le tempo m’emporte |
Une carcasse de porc sur les épaules mon pote |
Un style sordide bientôt incontesté |
Car je baiserai des corps infestés d’MST |
Passe-moi le hachoir et si le sang t’insupporte |
N’entre pas dans les abattoirs |
Usé jusqu'à la corde, tu vas crever lentement |
Je profanerai ta tombe avec mes excréments |
C’est le son des pirates et des taudis cradingues |
Des hooligans qui démolissent les gradins |
Le rap a sa jet set et moi j’ai les cartouches |
Le canon dans la bouche d’une putain de starlette |
J’ai foutu en l’air mon buzz en dépassant les bornes |
Autonome, je me fous de la norme |
C’est le défilé des barbares et des filets de barbaque |
J’te laisse deux-trois secondes pour enfiler ton pare-balles |
Le 16 est brutal comme un film de Scorsese |
Les mecs se taisent après avoir baissé leur futal |
Image mortel en cortège qui martèle mon cortex |
Et ta cervelle étalée sur ma veste Gore-Tex |
Un vortex d’hémoglobine et une paire de schyzos |
Qui déflore ta copine avec une paire de ciseaux |
Attirés par le son, les cafards sont restés |
Moi je suis un ourson sur un buvard LSD |
Le crâne en compote quand le tempo m’emporte |
Une carcasse de porc sur les épaules mon pote |
Un style sordide bientôt incontesté |
Car je baiserai des corps infestés d’MST |
Passe-moi le hachoir et si le sang t’insupporte |
N’entre pas dans les abattoirs |