| Tout en haut de la ville
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| Depuis trois ans déjà je vis
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| Il n’est pas grand mon domicile
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| Mais de ma fenêtre on voit Paris,
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| Et le soir lorsque tout s'éclaire
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| On n’a pas besoin de bougies
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| Il fait comme ça bien assez clair
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| Et ça fait des économies…
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| Refrain
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| Venez donc chez moi je vous invite
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| Y a d’la joie chez moi c’est merveilleux
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| A côté des étoiles j’habite à deux pas du ciel toujours bleu
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| J’attendrai… chez moi votre visite
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| Là haut sous les toits dans mon logis
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| Tous les jours je reçois venez, venez vite,
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| C’est gentil chez moi, venez-y…
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| Ce serait préférable
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| Si en hiver c'était chauffé
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| Et vraiment bien plus agréable
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| Si c'était plus frais en été…
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| Pour entrer faut baisser la tête
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| Il faut s’asseoir à l’intérieur
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| Mais on peut s’y conter fleurette
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| Et ça suffit à mon bonheur…
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| Refrain
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| Venez donc chez moi je vous invite
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| Y a d’la joie chez moi c’est merveilleux
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| Il ne faut surtout pas qu’on hésite
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| L’escalier n’est pas dangereux
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| Le tapis est beau jusqu’au deuxième
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| Si on monte plus haut plus de tapis
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| Mais allez tout droit montez au sixième
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| C’est gentil chez moi, montez-y…
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| Il faut que je ramène
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| Un jour bientôt l’amour chez moi
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| Car j’ai là-haut bien trop de peine
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| A vivre tout seul sous mon toit
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| Je lui dirai «viens voir la vue
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| De ma fenêtre elle est bien mieux»
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| Quand il (elle) aura bien vu la rue,
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| Je lui ferai fermer les yeux…
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| Refrain
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| C’est gentil chez moi je vous invite
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| Vous serez pour moi le seul ami
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| Nous n’aurons plus jamais de visite
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| A la porte tous les ennuis
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| Nous serons heureux dans mon sixième
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| Il y a place pour deux dans mon logis
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| On comptera les fois où nous dirons «je t’aime»
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| Es-tu bien chez moi ! |
| Restons-y … |