| Rouleau de 500 dans la pocket, concentré sur ma monnaie |
| Rajoute du poulet dans mon bucket, la dalle on connaît |
| Une pour Ibou Amar on va tout cramer comme à Aulnay |
| J’suis sur le périph', à donf entre deux flashs |
| Préservatif sur le pénis, me glisse entre deux tass, oh |
| Voilà le Duc de Boulbi |
| Fais le 18 ou vite, préviens le toubib |
| Je ne porte pas de toc, j’dors mal sans mon Glock |
| Je rentre à five o’clock, les keufs me suivent quand je sors du bloc |
| Ne me parle pas de rue, de c’que tu as vécu |
| Ce n’est pas vrai, tout est faux, on ne t’a jamais cru |
| C’est B.2.O.B.A, dernier flow, dernier cru |
| À-À chaud on te fait un deuxième trou du cul |
| Pendant que ça chauffe dans le 7.8 ou à Grigny |
| J’mets la capote sur ma bite et sur ma Lamborghini |
| Ne me parle pas de rue, ne me parle pas de rue |
| Ce n’est pas vrai, tout est faux, on ne t’a jamais cru |
| Gros tu veux ré-ti les coups francs? Faut bien savoir viser le cadre |
| Ne dévisse pas la traject-jectoire sous la pression du stade |
| Le suspect numéro un a changé depuis Mesrine |
| Mon rap est une scène de meurtre maquillée en suicide |
| En mode baltringues, les chiens se mettent à miauler |
| Deux mecs sur une bécane, ça fait peur ou pleurer |
| La devise c’est «meurs ou mérite de souffrir», bref |
| J’en connais autant sur toi que sur mon neuf millimètres |
| Si j’ai l'échec au bout du fil, je lui raccroche au nez |
| Faut marcher droit parce que le marchand de sable est calibré |
| La France est une garce qu’on ramène à tel-hô parce qu’elle provoque |
| Grosse paire de couilles dans mon froc, reste près de ton block, block |
| La B.A.C. ou Lucifer |
| Trop tard pour un «pull-up !», je sens déjà les menottes qui se serrent |
| Tu peux rien faire négro face à ma clique de sauvages |
| La rue c’est chaud et dans la tess on est comme dans un sauna |
| Ne me parle pas de rue, ne me parle pas de rue |
| Ce n’est pas vrai, tout est faux, on ne t’a jamais cru |
| J’gagne plus que le quinté, plus que le rrain-té |
| Tu vas t’esquinter la vue, tu n’me vois pas j’ai les vitres teintées |
| Qui aurait cru que Kopp allait niquer le biz? |
| Tout sec, assis dans le grec, en tête-à-tête avec un Double Cheese |
| J’regarde les culs dans la street quand j’roule dans ma Lambo |
| Un seul coup de fil, j’me fais livrer tout de suite le flingue à Rambo |
| Macabre symphonie sur la ville de Paris, faut qu’elle craque |
| J’regarde pas les infos sans Harry Roselmack |
| À la vue du pouvoir je défouraille sur l’adversaire |
| J’suis pas comme cette vieille pute prête à tout pour vous plaire |
| Jamais content de c’que j’ai parce je viens d’Auber' |
| Je pa-pars en couilles despi comme une rafale sur ta mère |
| Reste près de ton brolic, j’adore le dirty-dirty |
| Dans tous les nightclubs c’est tout le monde qui check son body |
| On aurait pas dit mais j’ai l’flow Armani Versace |
| Tu liras «suce ma bite» sur mon procès verbal |
| Ne me parle pas de rue, ne me parle pas de rue |
| Ce n’est pas vrai, tout est faux, on ne t’a jamais cru |
| Paroles rédigées et expliquées par la communauté RapGenius France |