Informazioni sulla canzone In questa pagina puoi trovare il testo della canzone Johnny Cauchemar, artista - Sadek. Canzone dell'album Les frontières du réel, nel genere Рэп и хип-хоп
Data di rilascio: 10.03.2013
Etichetta discografica: Parlophone France
Linguaggio delle canzoni: francese
Johnny Cauchemar |
Nique vos récompenses, poto j’pisse dans tous vos trophées |
J’me suis éloigné d’la hass, j’deviens dur à approcher |
Une mixtape j’fais trembler l’game comme Tokyo et Phuket |
Ma bite dans leur bouche, j’suis né pour partir en sucette |
Plus d’neurones dans l’cerveau, on s’noie dans un verre d’eau |
Du landau au corbillard, toute la vie en Merco |
Baise ta meuf une dernière fois avant d’galoche le bitume |
En érection d’vant l'État, il nous mène la vie dure |
Jeune et déjà si haut, mon carrelage c’est votre toiture |
Dans ton label les salopes parlent, c’est un vrai salon d’coiffure |
Nous nos vies sont des films, dont on maîtrise l’intrigue |
J’me noierai dans les soucis, si j’dois liquider un flic |
J’ai mille et un titres, j’fais avaler vos feats |
MC mets ta plus belle robe on fera un dîner intime |
En face j’vois qu’des bras cassés, bon qu'à rater leur suicide |
Ici on est souriants, déter, imprévisibles |
J’ai pris l’ascendant psychique |
Dans cette guerre psychologique |
Si t’es une ordure on t’recycle #NiuuumÉcologique |
Dans cette crise rapologique |
J’détiens la bombe atomique |
Mon écriture est toxique #NiuuumPharmaceutique |
Mon sommeil me torture, moi c’est Johnny Cauchemar |
Ça fait longtemps que j’dors plus, moi c’est Johnny Cauchemar |
J’suis pendu à mes rêves, ils m’appellent Johnny Cauchemar |
Ça fait longtemps que j’dors plus, moi c’est Johnny Cauchemar |
Moteur allemand, kilos d’afghan, artillerie des Balkans |
C’que t’as construit en 10 piges j’l’arrache en un instant |
Des montagnes d’argent sale lavé dans un bain de sang |
On m’a noyé, j’ai survécu dans l’ventre d’un requin blanc |
J’suis khatar, pluie de napalm, le zoo c’est ma ville natale |
On arrive, si ça part, vive Paris, vive Zlatan |
Mon flow passe aux assises, mes rimes s’endorment au dépôt |
Là où j’vais personne peut m’suivre, j’ai même plus besoin de mes rétros |
J’préfère être le plus riche du cimetière que d’vivre endetté |
Dans les tripes d’mes adversaires, mon chemin est tracé |
J’ai déréglé les saisons, j’porte des pulls en été |
J’suis comme ce taliban mort, j’en ai plus rien à péter |
J’suis cette créature difforme que mes cauchemars ont créée |
Cheval-araignée, espèce hybride #SpyderFéfé |
Sommes violettes et nuits blanches, c’est mon côté raciste |
J’suis venu vous déclasser même si j’connais vos classiques |
Dans ma tête c’est l’Antarctique, tous sous antalgiques |
Entre ness-bi et vils-ci, c’est nos vies, rien d’fantastique |
On brise nos torts, esquive les porcs, te hagar d’vant ta team |
En face à face avec la Mort tu vas apprendre la vie |
9−3, sans plomb dans l’moteur |
Pluie d’pétrole, enraille le sampleur |
Mon flow fait chuter l’prix d’l’essence, j’m’abreuve du sang d’vos chanteurs |
J’te conseillerais d’tout léguer, faire un tour chez le notaire |
Devant les rah-rah-rah-rah-rafales pas d’Frères Mus' qui protègent |
J’suis le cauchemar des trentenaires, un frisson dans tes lombaires |
Aux frontières du réel, ou l’réel n’a plus de frontières |