Traduzione del testo della canzone On prend toujours un train pour quelque part - Gilbert Bécaud
Informazioni sulla canzone In questa pagina puoi leggere il testo della canzone On prend toujours un train pour quelque part , di - Gilbert Bécaud. Canzone dall'album Gilbert Becaud (1968-1970), nel genere Поп Data di rilascio: 05.10.2011 Etichetta discografica: Parlophone France Lingua della canzone: francese
On prend toujours un train pour quelque part
(originale)
Une gare au petit matin,
Deux amours se tiennent la main.
Ils sont tristes ou ils sont heureux.
On n’en sait rien, mais ils sont deux.
La vie c’est ça, tu le sais bien:
Un train s’en va, un autre vient.
On prend toujours un train pour quelque part,
Un grand train bleu, un grand train blanc, un grand train noir.
On prend toujours un train pour quelque part.
Au bout du quai flottent des mains et des mouchoirs.
Toi et moi, nous irons très loin.
On s’aimera tant et si bien
Que le monde entier n’en saura
Ni le comment ni le pourquoi.
Un jour, les derniers jours viendront.
Nous prendrons le dernier wagon.
On prend toujours un train pour quelque part,
Un grand train bleu, un grand train blanc, un grand train noir.
On prend toujours un train pour quelque part.
Au bout du quai flottent des mains, des au revoir.
(traduzione)
Una stazione ferroviaria al mattino presto,
Due amori si tengono per mano.
Sono tristi o sono felici.
Non lo sappiamo, ma ce ne sono due.
La vita è questa, lo sai bene:
Un treno parte, un altro arriva.
Prendiamo sempre un treno da qualche parte,
Un grande treno blu, un grande treno bianco, un grande treno nero.
Prendiamo sempre un treno da qualche parte.
Alla fine della piattaforma galleggiano mani e fazzoletti.
Io e te andremo molto lontano.
Ci ameremo così tanto
Che il mondo intero non lo saprà
Né il come né il perché.
Un giorno verranno gli ultimi giorni.
Prenderemo l'ultima carrozza.
Prendiamo sempre un treno da qualche parte,
Un grande treno blu, un grande treno bianco, un grande treno nero.
Prendiamo sempre un treno da qualche parte.
Alla fine della banchina le mani galleggiano, saluti.