Informazioni sulla canzone In questa pagina puoi trovare il testo della canzone Teknishun, artista - Akhenaton.
Data di rilascio: 13.10.2001
Linguaggio delle canzoni: francese
Teknishun |
Technicien, A.K.H / L.I.N.O |
Rap milicien d’Arsenik et l’Italiano |
Teknishen ! |
Axiome, fustige au mic, cisèle le macadam |
(Mets gras d’pression dans les bacs ?) |
Teknishen ! |
Attaque sur beat, tacticien rap |
J’débite, j’frappe, j’t’invite à bruler l’dancefloor |
Heure d’célébrer, la vie m’a laissé une brèche, pour pénétrer, séquestrer |
Dans la cave du Hip Hop, j’livre ces extraits, verbal spray |
Dans mes veines, le feu sacré |
Ici ça crée ça piaille pas dans les cocktails éméchés |
Sales samedi soirs, évêchés |
La rue m’a apporté qu’des déchets |
Fourbe, à la longue, elle m’a ébréché |
Taxé de «vandales «dans les rayons d’CD |
Ici les techniciens on vient tout réparer paraît qu’le lyricisme est décédé |
Place à la variété, fait chier, j’ai vu l’année s’révéler |
Et des milliers d’stylos s’dessécher, markétés, artistes en PVC |
Incrusteurs de la mort, putes qu’appellent en PCV |
Désormais fédérés, assaut à la porcherie, troupes déchainées |
Dessinés, stratégie limpide, huilée, bien répétée |
Ouais c’est moi, l’ptit gamin qui badait les PCB |
J’ai dégainé, le B.I.C: on comprend l’sens de mon A.K.A |
Si t’es si bon, ou est ton cru? Allez fais péter |
J’ai décidé, d’laisser la gentillesse, de côté, cet été |
Assez d’sommeil, assez d’végéter |
J’donne du temps au cahier, comme ma mère le faisait à la CGT |
Une pensée pour les MC’s qui m’ont précédé |
Aucune gratitude, pour ceux qui l’voient comme un CDD |
C’est réglé, début vinyle, maintenant DVD |
Toujours la même force, excité, comme un mec sous PCP |
Vrai, sans imaginaires démêlés, y a personne qu’je hais |
J’veux être juste au dessus d’la mêlée |
Sans s’dire avoir le train d’vie fastueux d’un gros PDG |
J’veux ma part d’rêve et qu’autour des miens, l’air soit léger |
T’mets pas en travers d’mon chemin, tu seras déblayé |
Tu crois qu’je dors? Tu t’trompes, frérot, j’suis trop réveillé |
Mais qu’est ce qu’il se passe mec, tu t’sens délaissé? |
Fallait pas en pondre un naze comme ça, en live des WC |
Teknishen ! |
Axiome, fustige au mic, cisèle le macadam |
(Mets gras d’pression dans les bacs ?) |
Teknishen ! |
Attaque sur beat, tacticien rap |
J’débite, j’frappe, j’t’invite à bruler l’dancefloor |
Hein hein ! D’abord, j’clarifie ma voix, 2 j’vérifie le niveau du MIC |
Suffit d’peu pourqu’on les terrifie |
2,1,2, oh les jacteurs ont fui, restent plus qu'à blessé le beat |
Vos cris m’le certifie |
Fais un geste, fais péter le son d’la hi-fi |
Reste ici c’est Bors' qu’assure le putain de guest |
Un défi aux lois d’la gravité, un zeste de rage dans un flow souple |
Arsenik ou quand la foudre et les mots s’accouplent |
Encore un couplet d’dingue, coupe le son qu’j’souffle |
S’te plait la boucle avant qu’mon lyrics découple |
Mets play, mec loupe pas l’truc, t’as l’scoop l’exclu |
J’ai l’vent en poupe et toi une aut’phase de samplé |
Tu connais l’blaze (non) je m’en vais te l'épeler (case) LINO |
Dans les rimeurs à putain d’phrases |
Dans c’bizz j'écrase, et merde à qui tomberas |
C’est une arme mon putain d’MIC |
C’est le prolongement d’mon bras |
C’est en bas qu’j’me puise avant l’combat j’me r’cueille |
J’ai une rime pour chaque clou de ton cercueil |
Un œil plaqué derrière, vu qu’cette pute d’amitié fais pas d’cadeau |
Si tu cherches un putain d’couteau prends en un dans mon dos |
P’tit frère mon crédo faudra t’y faire |
J’rappe cette foutue vérité toute nue |
Depuis qu’ta tchatche lui a braqué ses sapes c’est simple |
J’palpe le pouls de la rue sur tempo, tape où ça blesse |
J’ai ça dans la peau et c’est cru |
Plein pot mec, j’démarre quand l’instru swing |
Marre de présenter qu’on scande le Hip Hop porte un string |
Et l’anti-pop souffre, sous mes postillons |
Le ring, c’est les bacs et au portillon les MC’s s’bousculent |
Teknishen ! |
Axiome, fustige au mic, cisèle le macadam |
(Mets gras d’pression dans les bacs ?) |
Teknishen ! |
Attaque sur beat, tacticien rap |
J’débite, j’frappe, j’t’invite à bruler l’dancefloor |