Informazioni sulla canzone In questa pagina puoi trovare il testo della canzone New York City Transit, artista - Akhenaton. Canzone dell'album Double Chill Burger (Best Of), nel genere Поп
Data di rilascio: 15.12.2005
Etichetta discografica: Capitol
Linguaggio delle canzoni: francese
New York City Transit |
Qu’est ce que j’comprends? j’suis la qu’pour signer l’autographe? |
Carpette la t (c)l©, et faire le pantin d’vant les photographes |
Dans les d (c)rapages d’auto graves, ma renomm (c)e na®t NY |
Dans l’D et s’propage bientґt sur d’un phonographe |
Moi et ma trempe, pas d’Sony ni d’Phonogram |
J’affute mes armes l ou s’vend la coke en kilogrammes |
Tellement j’ai la dalle, j’pyrograve, mes rimes oscillent au grave |
Lave dans mes veines, tous s’rappellent d’moi comme d’un mino brave |
Cul sur les marches 36 et Neptune Avenue, paumes de mains vers l’ciel, priant, |
H (c)las le miracle n’est pas venu |
Ainsi coule ma routine, weed et cornflakes |
Des potes s'(c)vaporent d’la surface, dommage, cette vie est complexe |
Alors j’m'(c)vade casque Koss sur les lobes, gloire la fraude |
J’traverse Brooklyn comme on traverse le globe |
Dans l’Hip Hop j’crois en la puissance de la prod, en la puissance de la prose, |
Et pas qu’on rappe mieux quand on s’touche le zob |
C’est c’que disait petit john, Aujourd’hui il est mort, moi j’m’en sors, putain, |
J’pense sa femme et ses mґmes fond dans les rues d’East-Ny, |
G-Rap dans l’poste, michtonneuses «Pazza vita e Note» |
P’tit rital dans le ghettos d’la grosse pomme, tout jeune on rЄve d’amour |
Et on s’tape qu’des grosses connes |
Acheter les phillies raide au comptoir des drugstores, |
On parle fort mais faut savoir s’tenir |
Quand les merdes rappliquent, § a part fort, c’est la ou j’ai fait mes classes |
Coney Island 36eme rue Nerfs de glace mec. |
Acceptes ou deteste le son, j’en ai rien a foutre de toute fa§ on |
C’est New York City transit, la ou la vibes na®t |
Ou l'(c)nergie du rap s’construit, |
Imbrications de phrases complexes et de m (c)taphores, |
A Fort greene: tranches de vie, ici combien l’espoir mange de vies? |
Entre taf et java, les coups d’fil ma mre pour voir si § a va, |
j’br"le mon temps dans l’park |
On tape le foot avec les jamaЇcains, gratte 2 cґtes au barbecue, |
gratte ces premires notes, |
Le dos sur un (c)rable. coup d’buttoir dans un quartier minable, |
J’entra®ne mes synapses, appr (c)cie mes laps, de temps d’bonheur formidable, |
brown bag et bire avec Derreck au Keyfood |
Une voiture banalis (c)e, § a regarde mal, qu’est ce qu’ils foutent |
Descend la 31 p’tain l bas qu’estce qu’ils shootent |
Croise des (c)quipes lourdes, les Jeep s’roulent |
§ a parle de «crack et Loot» Et© 87, nuits d’fou |
Scott la Rock perd la vie dans l’Bronx, (Allah rah mou) |
Nous on tra®ne Nathans, c' est midi pile ouais |
On entend l’bruit des glocks, et l’chauffeur qui braille: last stop stillwell |
C’est NYC transit, 2 ans et demi d’ma vie ou les ans |
sont des jetons luisants qui s’d (c)pensent vite |
Ma m (c)moire lie ces rimes (c)parses, comparses, d’la revanche |
D’un gosse aux 1000 stygmates marque d’un d (c)part d (c)gueulasse |
Qui (c)tait l quand j’tombais part AЇcha? |
Qui souriait ma gueule de craps, en c’temps l, AKH n'(c)tait pas official |
Affiche § a, fais le savoir |
Comme ces putes qui ignorent qu’ils sont la grўce Richard |
Pour nos rЄves commums, mon style verse des larmes |
aussi charge un bac de maxis l’Eden et lis § a |
Les trains portent nos d (c)lires, dans c’d (c)dale, superbe caravane |
Dieu sait ou § a ramne, si j’crois les paramtres, apparement § a rame |
Par respect j’mets du vrai dans l’histoire |
Et narre un des plus beaux volets dans l’rap qui sait. |