| C’est cette musique qu’on aime
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| Malgré leurs stratagèmes
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| Pour faire faner cette fleur du ghetto
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| Celle qui remplit nos coeur de joie
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| Exprime nos souffrances, nos émois
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| Elle restera toujours number one
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| Dans les années 60, une graine magique
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| Germe dans l’un des ghettos de la jamaïque
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| Rapidement elle voit pousser sa première tige
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| Quelle réjouissance pour des groupes comme Tootts& the Maytals
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| Aswad, Steel pulse la cultivèrent outre-atlantique
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| Arrosée par ses nombreux fanatiques
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| L'éclosion de sa fleur se fit par la suite
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| Début 80 avec Jimmy Cliff, Burning Spear
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| Le rub a dub style fait les gens wine dans toute les soirées
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| Dans les années 90, YEllowman & Charlie Chapelin font les gens parler
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| C’est la venue d’un nouveau style, celui des DJ’s
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| Bob Marley l’a rendu international
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| Elle pousse à Tokyo, London New York et même en Allemagne
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| Pour les oprimés et les classes sociales
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| Elle apaise les maux et pour tous elle est vitale
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| Quand le selector joue tout le monde crie Fire
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| La basse résonne, le public s’enflamme car ses dubplates sont murda
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| Tout le monde devient fou quand on passe le son du Don Dada
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| Dans la dance, il y a des noirs, il y a des blancs, il y a des jaunes
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| Tous réunis au même endroit
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| Et tu sais pourquoi…
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| Elle pousse dans les DOM peu à peu
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| Début 90, Daddy Yod met le feu
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| De Gwada à Madinina, les jeunes ont la même flamme dans les yeux
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| Le parfum de cette jolie fleur réveille quelque chose en eux
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| Et tout de suite cette nouvelle génération du nouveau millénium
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| Est séduite par le raggae dancehall
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| Plus dansante, plus hardcore
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| Plus explicite que sa foundation
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| Qui sera toujours le number one |