Informazioni sulla canzone In questa pagina puoi trovare il testo della canzone Fin des illusions, artista - IAM. Canzone dell'album Yasuke, nel genere Рэп и хип-хоп
Data di rilascio: 21.11.2019
Limiti di età: 18+
Etichetta discografica: Caroline France
Linguaggio delle canzoni: francese
Fin des illusions(originale) |
J’ai mixé mon passé, présent, futur et j’en ai fait des sons |
J’serai toujours trop nouveau, trop ancien ou pas assez récent |
Faite de chance, de soleil, de violence, ma ville a ses raisons |
En France la police tue, la justice dit rien d’intéressant |
Ceux qui prennent le risque de m’test subissent un supplice |
Les médias savent bien que pour faire peur, suffit d’un suffixe |
J’sors d’un chemin hors-norme, j’renvoie la balle au rap |
La concurrence au diable, l’esprit hip-hop au crématorium |
A.K. ne fait pas du rap, ni du chant, il fait d’la science |
J’leur chanterai Youssou N’Dour pendant leur minute de silence |
C’est pire aujourd’hui, petit frère préfère bibi au tcheks speed |
Armé pour de vrai, tire, laisse la bibliothèque vide |
L’avenir m’envoie des sextos, j’te l’dis texto |
Que leur major me donne leur expo, j’deviens un ex-pauvre |
On a de l’ambition mais l’espérance de vie d’un mégot |
J’veux de l’argent, vu que l’argent compte plus que la vie d’un negro |
Je rec', toujours sans pitié t’façon plus rien à prouver |
Pas trop souvent sur les réseaux, ils s’plaignent de pas m’y retrouver |
Mais j’pourrai jamais perdre la main en flow j’ai jamais foiré |
Bien sûr, y’aura toujours des langues de putes pour nier les faits |
Je le leur dis façon Biggie dans «It Was All A Dream» |
Téma frérot, je rime et ton jean n’est plus clean |
Génération leatherface, chainsaw c’est le style |
Reviens sans cesse hanter le screen comme une lame à Halloween |
Aloha, c’est pas la devise, au centre-ville tout s'écroule |
A l’heure ou les fachos d’Europe s’unissent pour baiser les foules |
On est tous pistés sur écoute, ou c’est moi qui part en couille? |
T’façon la planète dérouille, la désillusion m'étouffe |
Je juge plus, regarde Nipsey on vas tous mourir |
Quand les rappeurs font du zouk pour pas bibi toute une vie |
Certains s’attribuent le crime de leur crew pour faire les viriles |
La vérité sur Youtube ne rapporte que peu de vues |
J’suis la depuis les flinstones, depuis Ericsson et les ringtones |
Envoie la cryptomonnaie, tu vois bien que le beat cogne |
Tu me parles de rien, tu m’parles de cash, tout a coup j’t'écoute |
J’viens réanimer la rue, j’lui fait du bouche à bouche d'égout |
T’as la meilleure dope, ouais c’est ça |
Ferme ta gueule, essaie ça |
Si tu veux être livré avec IAM |
On fera le nécessaire |
La trap, tu l’as accentuée mais tu rapes sans tuer |
On s’gave comme Gargantua, de la table, absent tu es |
Trop de talla dans leurs speechs, trop de tabac dans leurs sbires |
J’me dis que la nature est bien faite quand ils font les canards devant leurs |
biches |
Zin, j’les avale quand j’inspire, ou j’les rafales quand j’expire |
Aucun détritus dans l'écriture je travaille comme Shakespeare |
Zin, on a la génétique |
Pour survivre a la scène de tir et tenir jusqu’au générique |
J’avoue que j’suis un gros mytho quand j’mets un pied chez les flics |
Destruction dans ma vision |
Zin, si j’t’ai doublé, c’est que la réalité dépasse la fiction |
C’rap c’est un appart', c’est tout un art de l’aménager |
Des concierges de toutes parts, au moindre écart, on sent le danger |
300 rue des Barbares, trop de cafards voudraient y loger |
Beaucoup ne pensent qu'à le ronger, qu'à le singer, qu'à le figer |
Que tous braquent leurs satellites, des tuiles jusqu’au plancher |
Comme ça ils pourront voir que c’t'équipe là n’a rien à cacher |
Le jour on cherche nos mines pour que le crime soit presque parfait |
Et le soir on traque le rythme afin que nos hymnes aient pu te dévorer |
Aucune demi-mesure, soit tu te couches, soit tu fais all in |
On a fait le choix, depuis trop de snipers visent nos poitrines |
Les propos corrosifs placent nos têtes au centre de la cible |
Mais le regard lointain, on garde quand même un pied sur nos racines, eh |
Bienvenue dans l'équipe ou l’impossible devient possible, c’est |
Un pack de fauves qui pète les portes jusqu’au premier essai |
Conjurer le sort, changer le décor, redoubler d’efforts on l’fait |
On créer nos sons dans le secret donc t’attends pas à trop sucrer |
J’parle des coins français comme ceux de là-bas au pays |
Quand j’rappe y a tout Mars' derrière moi comme sur le selfie de Balotelli |
Vulgaire envers l'élu d’ma ville, l’Etat, pour être honnête |
Quand j’cause du maire t’as l’impression que j’suis atteint de Gilles de La |
Tourette |
Marre de voir un futur anxieux jalonner les rues d’mon coin |
Comment ambitionner d’avoir mieux quand on ne craint plus que d’avoir moins? |
On a le choix entre se révolter, fermer les yeux et s’laisser faire? |
Si un homme a plus que ce qu’il ne faut c’est que d’autres manquent du |
nécessaire |
Bercé par le désespoir c’est triste quand la douleur s’réveille |
C’est l’histoire d’une lame de rasoir qui joue la funambule sur une veine |
Moi je suis entre le gars nia qui hait la haine my man |
Et le gars qui aime imiter le Mia sur l’album de IAM |
Rare de voir un de tes zinc neutre |
Dans les impairs y’a 1 3 5 7 9 ou un 3.5.7 neuf |
Aie de l’estime envers ces vers, même si le fond en perd ses formes |
Si Dugarry critique ces versets frères, j’suis sûr de percer fort |
Nous voilà vingt dans la barque au bas mots à défiler «yes we can» |
Vois le mic', prends le mic', tue ce rap à coup de «all you can» |
Canailleries, railleries, joailleries, taillent le mythe |
Il a dit qu’elle a dit qu’on a dit ont noyé le rythme |
On a bu au caniveau, gratté au casino, ouais minot |
Rivés au camino, affiné la weed aux haribos |
Variés, arrivés, vanillés, mariés au Barrio |
Fatigués de montrer que Luigi n’est pas Mario |
J’suis le bon canasson, v’là le son t’as pigé mon garçon? |
Valider tes idées? |
sorry non, j’en fais mon paillasson |
J’vends du rêve, t’as les restes, M.R.S. |
c’est la maison |
Drafté par les NYC Knicks du rap, c’est ma saison |
Fait par nous, fait pour nous, fais tourner, shooté à l’unisson |
Pleurent seuls, œuvrent seuls, meurent seuls, de vrais Manu Micron |
Petits chefs, petit plans, pour rêves moribonds |
Corrigeons la visée, convergeons et touchons l’horizon |
Jeunesse a l’agonie, je ne sens plus son pouls, shit et alcool dans les veines |
Comme d’hab' une histoire à dormir debout, encore une mère se noie dans ses |
peines |
Que faire quand le berger est du côté des loups? |
Et prétends tenir les rennes |
Quotidien est à gerber, je vomis le tout, tout en encaissant les coups que la |
vie assène |
Du mal à compter ceux qui sont sous écrous, ont serré ou purgent des peines |
On a déjà du mal à joindre les deux bouts, rester debout comment voir le bout |
du tunnel? |
Mauvaise réputation, traînés dans la boue, de bout en bout du coup la coupe est |
pleine |
Beaucoup voudront jamais tendre la joue, la main sur le joujou, craquent et |
braquent et dégainent |
Toujours lucide j’vois les descentes des larmes en rivières et des plaies |
Les jours se suivent et se ressemblent, on regarde la misère en replay |
Le diable les appâte puis les acclame, quel vacarme |
Ils visent tout ce qui brille, vivent que dans le speed vide et sans états |
d'âmes |
Fidèle à mon art, à ma voix je débite, je n'écoute pas ceux qui parlent et |
débitent |
Et me tape beaucoup de barres mais rattrape mon retard, poto je démarre au quart |
Mets les gaz et vais vite, pavé dans la marre, je casse les mythes, |
débit barbare et regarde les rimes |
Je suis dans le délire à part, je me démène et mène ma barque, rape, |
frappe et jamais n’hésite |
Crâne blanc sur les corps dessiné |
Ça sent l’hymne à la punition |
Haro sur les figures déguisées |
Dès que sonne la fin des illusions |
Crâne blanc sur les corps dessiné |
Ça sent l’hymne à la punition |
Haro sur les figures déguisées |
Dès que sonne la fin des illusions |
Dès que sonne la fin des illusions |
La fin des illusions |
Dès que sonne la fin des illusions |
La fin des illusions |
AK |
Larage |
REDK |
Relo |
Veust lyricist |
(traduzione) |
Ho mescolato il mio passato, presente, futuro e ho creato suoni |
Sarò sempre troppo nuovo, troppo vecchio o non abbastanza nuovo |
Fatta di fortuna, sole, violenza, la mia città ha le sue ragioni |
In Francia la polizia uccide, la giustizia non dice nulla di interessante |
Coloro che corrono il rischio di mettermi alla prova subiscono una tortura |
I media sanno che per spaventare basta un suffisso |
Esco da un percorso non standard, rimando la palla al rap |
Competizione all'inferno, spirito hip-hop al crematorio |
AK non rappa né canta, fa scienza |
Li canterò Youssou N'Dour durante il loro minuto di silenzio |
Oggi è peggio, il fratellino preferisce il bibi alla velocità di tchek |
Armato per davvero, spara, lascia la biblioteca vuota |
Il futuro mi manda sexts, te lo dico texto |
Che il loro maggiore mi dia la loro esposizione, divento un ex povero |
Abbiamo l'ambizione, ma l'aspettativa di vita di un mozzicone di sigaretta |
Voglio soldi, perché i soldi contano più di una vita da negro |
I rec', sempre senza pietà non hai più niente da dimostrare |
Non troppo spesso sulle reti si lamentano di non trovarmi lì |
Ma non potrei mai perdere la mano nel flusso, non ho mai incasinato |
Naturalmente, ci saranno sempre lingue di puttana a negare i fatti |
Dico loro come Biggie in "Era tutto un sogno" |
Tema fratello, faccio rima e i tuoi jeans non sono più puliti |
Leatherface di generazione, motosega è lo stile |
Continua a tornare a perseguitare lo schermo come una lama ad Halloween |
Aloha non è il motto, in centro tutto sta andando in pezzi |
In un momento in cui i fachos d'Europa si uniscono per fottere la folla |
Siamo tutti intercettati o sono io quello che sta impazzendo? |
Come arrugginisce il pianeta, la disillusione mi soffoca |
Non giudico più, guarda Nipsey moriremo tutti |
Quando i rapper fanno zouk per tutta la vita |
Alcuni si prendono il merito del crimine del loro equipaggio di agire da virile |
La verità su Youtube ottiene poche visualizzazioni |
Sono qui dai Flinstones, da Ericsson e dalle suonerie |
Invia la criptovaluta, puoi vedere il ritmo che colpisce |
Mi parli di niente, mi parli di contanti, all'improvviso ti ascolto |
Vengo a ravvivare la strada, gli do bocca a bocca fogna |
Hai la droga migliore, sì è tutto |
Zitto cazzo, prova questo |
Se vuoi spedire con IAM |
Faremo ciò che è necessario |
La trappola, l'hai accentuata ma rappi senza uccidere |
Ci imbottiamo come Gargantua, da tavola, assente |
Troppa talla nei loro discorsi, troppo tabacco nei loro tirapiedi |
Mi dico che la natura è ben fatta quando si chinano davanti a loro |
cerve |
Zin, li ingoio quando inspiro, o li inspiro quando espiro |
Senza rifiuti nella scrittura, lavoro come Shakespeare |
Zin, abbiamo la genetica |
Per sopravvivere alla scena delle riprese e durare fino ai titoli di coda |
Ammetto di essere un grande mito quando metto piede nella polizia |
Distruzione nella mia visione |
Zin, se ti ho ingannato, è perché la realtà supera la finzione |
È un appartamento, è un'arte arredarlo |
Portieri da tutte le parti, alla minima deviazione, si intuisce il pericolo |
300 rue des Barbares, troppi scarafaggi vorrebbero starci |
Molti pensano solo a rosicchiarlo, solo a scimmiottarlo, solo a congelarlo |
Lascia che tutti puntino i loro satelliti, dalle piastrelle al pavimento |
In questo modo possono vedere che questa squadra non ha nulla da nascondere |
Il giorno in cui cercheremo le nostre miniere in modo che il crimine sia quasi perfetto |
E la sera seguiamo il ritmo perché i nostri inni ti possano divorare |
Niente mezze misure, fold o all in |
Abbiamo fatto la scelta, visto che troppi cecchini puntavano al nostro petto |
I discorsi corrosivi mettono le nostre teste al centro del bersaglio |
Ma lo sguardo lontano, teniamo ancora un piede sulle nostre radici, eh |
Benvenuto nella squadra dove l'impossibile diventa possibile, è |
Un branco di grandi felini che sfonda le porte fino al primo tentativo |
Evoca il destino, cambia lo scenario, raddoppia i nostri sforzi lo facciamo |
Creiamo i nostri suoni in segreto, quindi non aspettarti di addolcirli troppo |
Sto parlando di angoli francesi come quelli laggiù in campagna |
Quando rappo c'è tutto Marte dietro di me come nel selfie di Balotelli |
Volgare nei confronti del funzionario eletto della mia città, lo Stato, a dire il vero |
Quando parlo del sindaco hai l'impressione che io abbia Gilles de La |
toretta |
Stanco di vedere un futuro ansioso costellare le strade della mia zona |
Come puoi aspirare ad avere di più quando tutto ciò che temi è avere di meno? |
Possiamo scegliere tra ribellarci, chiudere gli occhi e lasciar perdere? |
Se un uomo ha più di quello di cui ha bisogno, è perché agli altri manca. |
necessario |
Oscillato dalla disperazione è triste quando il dolore si sveglia |
È la storia di una lama di rasoio sul filo del rasoio in vena |
Sono tra il nie ragazzo che odia odia il mio uomo |
E il ragazzo a cui piace imitare Mia nell'album IAM |
Raro vedere uno dei tuoi zinco neutro |
Nei numeri dispari c'è 1 3 5 7 9 o un nove 3.5.7 |
Abbi stima di questi versetti, anche se il fondo perde le sue forme |
Se Dugarry critica questi versi sorelle, sono sicuro di sfondare |
Eccoci in venti nella barca in fondo alle parole che scorrono "sì possiamo" |
Guarda il microfono, prendi il microfono, uccidi questo rap con "tutto ciò che puoi" |
Mascalzoni, insulti, gioielli, scolpiscono il mito |
Ha detto che ha detto che abbiamo detto che abbiamo affogato il ritmo |
Abbiamo bevuto nella fogna, graffiato al casinò, sì ragazzo |
Rivettata al camino, affina l'erba haribo |
Variegata, arrivata, vanigliata, sposata con il Barrio |
Stanco di mostrare che Luigi non è Mario |
Sono il bravo ronzino, ecco il suono, hai capito, ragazzo? |
Convalidare le tue idee? |
scusa no, ne faccio il mio zerbino |
Vendo sogni, tu hai gli avanzi, M.R.S. |
è la casa |
Redatto dai New York Knicks of Rap, It's My Season |
Fatti da noi, fatti per noi, girano, girano all'unisono |
Piangi da solo, lavora da solo, muori da solo, vero Manu Micron |
Piccoli chef, piccoli progetti, per sogni morenti |
Fissiamo la mira, facciamo convergere e tocchiamo l'orizzonte |
Giovinezza in agonia, non sento più il suo polso, hashish e alcol nelle vene |
Come al solito una favola, l'ennesima madre sta annegando in lei |
frasi |
Cosa fare quando il pastore è dalla parte dei lupi? |
E fai finta di tenere le redini |
Ogni giorno vomita, lo vomito tutto, mentre prendo i colpi che il |
vita |
Difficile contare coloro che sono in custodia, sono stati condannati o stanno scontando la pena |
Stiamo già lottando per sbarcare il lunario, resta su come vedere la fine |
dal tunnel? |
Cattiva reputazione, trascinato nel fango, dall'inizio alla fine improvvisamente il taglio è |
completo |
Molti vorranno mai mettere la guancia, la mano sul giocattolo, crack e |
indica e disegna |
Sempre lucido vedo le discese delle lacrime nei fiumi e nelle ferite |
I giorni si susseguono e si assomigliano, guardiamo la miseria che si ripete |
Il diavolo li esca e poi li incoraggia, che baccano |
Mirano a tutto ciò che luccica, vivono solo in una velocità vuota e apolide |
di anime |
Fedele alla mia arte, alla mia voce esprimo, non ascolto chi parla e |
addebito |
E mi ha colpito un sacco di battute ma raggiungo, poto inizio al quarto |
Accendi il gas e vai veloce, sballato nell'acqua, sto sfatando i miti, |
flusso barbarico e guarda le rime |
Sto delirando a parte, mi affretto e corro la mia barca, rap, |
bussare e non esitare mai |
Teschio bianco su corpo disegnato |
Puzza come l'inno della punizione |
Haro su figure mascherate |
Non appena le illusioni finiscono |
Teschio bianco su corpo disegnato |
Puzza come l'inno della punizione |
Haro su figure mascherate |
Non appena le illusioni finiscono |
Non appena le illusioni finiscono |
La fine delle illusioni |
Non appena le illusioni finiscono |
La fine delle illusioni |
AK |
grande |
REDK |
relo |
Veust paroliere |