| Mon père, n’a pas connu le sien
|
| Mon père, s’est construit de ses mains
|
| Mon père, n’a eut pour seul repère qu’un frère
|
| Mon père, a eut bien du chagrin, la guerre
|
| S’est senti seul, un soir d’hiver
|
| Je peux le lire dans ses yeux clairs
|
| Mon père, garde pour lui ses états d'âmes, il n’a connu que peut de femmes.
|
| N’a déclaré qu’une fois sa flamme.
|
| A vous Madame, vous Madame, vous Madame, à vous Madame, vous Madame.
|
| Mon père, nous emmène en voyage
|
| Mon père, rit quand on est pas sages
|
| Mon père, oublie tous les anniversaires
|
| Mon père, dès qu’il est de passage sur Terre
|
| Un grain de sable, dans l’Univers
|
| Il croit en Dieu à sa manière, mon père
|
| Oh mon père, ne montre pas couler ses larmes.
|
| La voir si belle, le désarme
|
| Il est bel et bien sous le charme…
|
| De vous Madame, vous Madame, vous Madame, vous Madame, vous Madame,
|
| de vous Madame, de vous Madame, de vous Madame
|
| Le monde manque de Valentin.
|
| De parents qui dansent jusqu’au matin
|
| Le plus des mystères, c’est ton sourire mon Père
|
| Quand le jour se lève sur vous Madame, sur vous Madame, sur vous Madame,
|
| sur vous Madame, sur vous Madame
|
| Mon Père, n’a pas connu le sien
|
| Mon Père, s’est construit de ses mains mêmes.
|
| Mon Père. |