| Je mets de la beuh dans le cigarillo
|
| Des bastos dans mon barillet
|
| Rien à faire amore mio
|
| S’entretuent veulent plus s’allier
|
| Aujourd’hui dans mon barrio
|
| Demain je peux m’envoler vers Cuba
|
| Après demain j’serai à Rio
|
| Première classe, accompagné ou pas
|
| Je rôde dans la ville en état d’ivresse
|
| Je connaîtrai plus les crises financières
|
| Deux, trois billets pour acheter tes fesses
|
| J’peux les acheter pour une vie entière
|
| Un peu pro-banlieusard je veux pas te mytho
|
| Je veux peser le milliard comme Pablito
|
| Coup de première, je transfère tous mes capitaux
|
| Bandito, tu me reverras pas de si tôt
|
| L’appétit de la monnaie me rend cinglé
|
| Moi j’suis pas tes amis fuck you pay me
|
| J’ai de quoi faire cavaler mes ennemis
|
| Le syndrome de la rue nous contamine
|
| J’suis vulgaire, ambitieux pas mégalo
|
| Apportez-moi mon verre et mes garro
|
| Y’a que le gars dans le miroir pour m'égaler
|
| Plonge pas quand mes projets se jettent à l’eau
|
| J’ai galérer donnez-moi mes
|
| J’veux mettre bien la famille, tous mes salauds
|
| Je prends des sous, je les assume et wesh alors
|
| Je regarde pas ton assiette et ouais salope
|
| Dur de faire le million, Carnalito
|
| Dur de rester réglo dans mon ghetto
|
| On a vendu la drogue et les métaux
|
| Donc on a blessé nos mères aussitôt
|
| Les épreuves nous ont vu grandir très tôt
|
| Que des gros brigante comme Carlito
|
| On se bat pas pour une pute comme ces mythos
|
| On se bagarre pour payer dans les restos
|
| Les autres rêvent de leur vie jusqu'à l’hosto
|
| Gros, la taule affaiblit les plus costauds
|
| Quand on était tit-pe on était trop
|
| Maintenant y’a plus personne sur la photo
|
| Maintenant y’a plus personne sur la photo ouais, ouais
|
| Maintenant y’a plus personne sur la photo personne
|
| Maintenant y’a plus personne sur la photo
|
| À part les vrais (x3)
|
| À part les vrais les vrais (x3)
|
| J’ai appris la vie, fini par la rapper
|
| J’finis la bouteille, bébé la lune est pleine
|
| Les yeux fermés, isolé, je m’endors à peine
|
| Le devoir m’appelle je suis désolé ma belle
|
| Le devoir m’appelle je suis désolé ma belle
|
| J’suis comme toi, comme lui, poto la rue m’a ken
|
| Je partage que mes joies mais jamais ma peine
|
| À part le bonheur des miens plus rien ne m’inquiète
|
| Depuis y’a plus personne sur la photo de classe
|
| Pas le temps, pas de réseaux, pas de réception
|
| Plus de signes du frérot tout ça pour une 'tasse
|
| Une amitié sincère brisée dans le tiek-son
|
| J’suis dans un cul-de-sac, coincé dans une impasse
|
| Vieux avant l'âge comme la Scred Connexion
|
| La fierté et l’oseille, poto ça prend trop de place
|
| Forcément on se sépare, connaît la déception
|
| Dans un cul-de-sac coincé dans une impasse
|
| Vieux avant l'âge comme la Scred Connexion
|
| La fierté, l’oseille, poto ça prend trop de place
|
| Forcément on se sépare, connaît la déception
|
| Assieds-toi gamberge une seconde
|
| À ceux qui sont partis trop tôt
|
| Mes frères ne sont plus de ce monde
|
| Quittent les nôtres à bord d’une auto
|
| Et les autres rêvent de leur vie jusqu'à l’hosto
|
| Gros, la taule affaiblit les plus costauds
|
| Quand on était tit-pe on était trop
|
| Maintenant y’a plus personne sur la photo |