Informazioni sulla canzone In questa pagina puoi trovare il testo della canzone Fil de Paradis, artista - Al'Tarba. Canzone dell'album Lullabies for Insomniacs, nel genere Рэп и хип-хоп
Data di rilascio: 09.06.2013
Etichetta discografica: Crazy Mother Fuckers
Linguaggio delle canzoni: francese
Fil de Paradis |
J’m’amène avec un nouveau cas d’meurtre |
Achève la fête à coup d’haut parleur |
Nos sales textes aliens t’harcèlent |
Jusqu'à c’que t’apprennes nos morceaux par cœur |
Alors qu’on aiguise notre art pour qu’il découpe au max |
Des groupes trop nases veulent percer avec un couteau à beurre |
Tu joues l’orateur genre gourou novateur |
Mais t’as des goûts d’chiottes ma gueule |
Ta soupe est beaucoup trop fade beurk ! |
Dur dur d'être au boulot a l’heure |
Tu turbines à l’usine |
Tu piges, dans c’te musique y’a pas d’oseille mais on subsiste |
Un pochtar de bonne zèb et la dépression chute vite |
Dans nos têtes c’est grave le bordel |
Faut qu’on essaye d'être constructif |
On s’casse le cortex a s’poser des questions stupides |
Et j’crois plus au crash de Roswell qu'à la résurrection du Christ |
Comme un rasta j’crame la salade, voyage à Dam |
Voilà ma life ca rap salace à la kalash |
Froid d’Alaska à chaque rafale |
Abracadabra mate la smala d’Altarba |
Passe à tabac la chatte moite à ta Falbala ! |
On marche en équilibre au dessus de l’enfer, sur un fil de paradis |
J’entends des cris de fanatiques / Voila les fils de l’anarchie |
Nid de parasite / Sous spliff de cannabis |
FIL DE PARADIS |
J’voulais ronger la nuit, on sait qu’mon nez fond ces temps ci |
Montez l’son, des amplis comme des condés vont m’défoncer gratuit! |
Et l’béton est gentil, c’est mon meilleur ami |
J’comptez monter ma vie, bon laisse tomber tant pis on s’est trompé. |
Comme j’ai envie |
De m’tirer dans les pieds j’sais que c’est pas ca la force |
J’fume des tas d’pilon et ya la mort qui m’attaque à la gorge! |
Quand j'étais môme, j’aurais pas pu me contenter de si peu |
Les catapultes et ça m’a plu que mon gland pétille |
Incompétent j'étais, un oméga pour l’oreille à tous nos débats qui sont posé là! |
J’men bas les couilles des hauts des bas |
J’reconnais que mes gars déconne et j’connais la colère à coté des potos et moi. |
Car j’fumais pas qu’la beuh, j’ai du m’tromper d’chemin |
Faut qu’la foule t’acclame et t’fasse tomber demain! |
Yo qu’les poules massent ma queue et j’crache comme un venin |
Que mes goules tabassent que les basses et compte dès demain! |
On vit des putains de scène / Tarantinesque |
On s’insère / A grande vitesse |
Les 5 frères / Rappent en finesse |
Et libère le talent qui vexe |
Un spliff d’herbe / V’la l’antistress contre les vipères qu’ya dans le système |
Digère ou vomi / Peut être que le cimetière t’attend cet hiver |
Juste armé d’un / Silex / Face à un / Tirex |
Dans cet univers / J’me sens comme une fourmie |
INTERGALACTIQUE MEC |
Donc place à / L’ivresse |
Que le cafard / Y reste |
Pompe moi ma / Tigresse |
Qu’on reparte à / VIIIDE, SEC |
Oh mes frères / La nuit est encore jeunes |
Les flows déferlent / D R 2 O G Z |
La clique répand l’horreur / Et cause des pertes |
Les tchelloveck sont / Dac Dac |
Le thermomètre est / Glacial |
Du Vellocet en / Cascade |
Ca gratte des poèmes en / Nadstat |
Dac dac dac, encore un coup de clavecin malsain venu |
Rependre la mort comme un vieux vagin de catin |
C’est qu’il est pas loin l’ravin, encore pas bien c’matin |
L’instable en vrai c’est l’inertie parce qu’il a pas de frein l’engin |
Ils ont pas fait d’vaccin, m’ont pris les cartes, rien en main |
La haine grignote et la poisse est trop souvent d’astreinte ça craint |
La crasse t’entraine, les vibrations de mon larynx t’atteignent |
J’te souhaite de vivre dans ma tête tu voudras t’casser l’bassin sale chien |
T’façon, on est déjà intoxiqué, j’pourrais pas mieux symboliser. |
Les Droogz sont là pour torpiller j’ai |
Beau crier, mes démons sont là pour m’opprimer, j’ai le |
Baudrier, et le cul posé sur l’poudrier |
Dans tes yeux il y a la flamme. le feu ne s'éteindra pas |
A bout de nerf, failli merder comme Bertrand Canta; |
J’ai trop les boules merde, partout j’saigne |
Et tout s’perd, je m’en fou je t’aime |
Dans tes yeux on y voit et moi j’suis nulle part aussi bien qu’en toi. |