| Quand mon esprit est comme un jour d’orage
|
| Quand la vie me prend la gorge
|
| Quand je m’ennuie quand je suis comme un prince en otage
|
| Que ne vient rclamer personne
|
| Je me rend lger je ne pse plus un gramme
|
| Et je m’en vais dans le ciel, alors ma vue est belle
|
| J’ai le cњur lger je ne verse pas une larme
|
| Et je suis dans les toiles, alors je n’ai plus mal
|
| Je plane et j’oublie la terre et les drames
|
| Et je me promne et je flne
|
| Quand c’est la fin et que je prends mes bagages
|
| Et pourtant comme je t’aime encore
|
| Quand je sais bien que je vis comme un chafaudage
|
| Qui ne tient plus que par un bord
|
| Je me rend lger je ne pse plus un gramme
|
| Et je m’en vais dans le ciel, alors ma vue est belle
|
| J’ai le cњur lger je ne verse pas une larme
|
| Et je suis dans les toiles, alors je n’ai plus mal
|
| Je plane et j’oublie la terre et les drames
|
| Et je me promne et je flne
|
| Et quand la vie est revenue en cage
|
| Et que je sens courir l’automne
|
| Quand je me this que je suis comme ce prince en otage
|
| Je ne viens rclamer personne
|
| Je me rend lger je ne pse plus un gramme
|
| Et je m’en vais dans le ciel, alors ma vue est belle
|
| J’ai le cњur lger je ne verse pas une larme
|
| Et je suis dans les toiles, alors je n’ai plus mal
|
| Je plane et j’oublie la terre et les drames
|
| Et je me promne et je flne
|
| Et j’oublie la terre et les drames
|
| Et je me promne et je flne
|
| Et j’oublie la terre et je me promne et j’oublie la terre. |