| Claquement, le choc, l’indescriptible douleur
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| Puis ce silence, un lourd battement de cœur
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| Plaqué au sol, gisant dans les barbelés
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| Griffant au vol, la vie qui va s'échapper
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| Toutes ces images qui traversent ma tete
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| Toutes ces images qui défilent sans cesse
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| Basculé sur le sentier des pleurs, une âme perdue sur un champ d’honneur
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| Livide est mon visage pétri de peur
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| Putride sera l’odeur en vile froideur
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| Ecartelé dans le jardin du diable
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| Ecartelé sur le chemin des dames
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| Comme un pantin, au corps désarticulé
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| Tôt ce matin, mon sort s’est embrasé
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| Ce voile noir, qui danse et lèche mes yeux
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| Me fait comprendre, qu’une paix n’a pas de lieu
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| Toutes ces images qui traversent ma tete
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| Toutes ces images qui défilent sans cesse
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| Basculé sur le sentier des pleurs, une âme perdue sur un champ d’honneur
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| Livide est mon visage pétri de peur
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| Putride sera l’odeur en vile froideur
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| Ecartelé dans le jardin du diable
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| Ecartelé sur le chemin des dames
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| Aucune réponse, à l'élan délibéré
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| Seul un recueil, d’un récit troublé
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| L’impact creuse, une jeunesse écourtée
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| Seul dans la meute, mon sang s’est écoulé
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| Toutes ces images qui traversent ma tete
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| Toutes ces images qui défilent sans cesse
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| Basculé sur le sentier des pleurs, une âme perdue sur un champ d’honneur
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| Livide est mon visage pétri de peur
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| Putride sera l’odeur en vile froideur
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| Ecartelé dans le jardin du diable
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| Ecartelé sur le chemin des dames |