Informazioni sulla canzone In questa pagina puoi trovare il testo della canzone Auprès De Mon Arbre, artista - Renaud. Canzone dell'album Chante Brassens, nel genere Эстрада
Data di rilascio: 27.03.1996
Etichetta discografica: Ceci-Cela
Linguaggio delle canzoni: portoghese
Auprès De Mon Arbre |
J’ai plaqué mon chêne comme un saligaud |
Mon copain le chêne mon alter ego |
On Ã(c)tait du même bois, un peu rustique un peu brut |
Dont on fait n’importe quoi, sauf naturellement les flÃ"tes |
J’ai maintenant des frênes, des arbres de JudÃ(c)e |
Tous de bonne graine, de haute futaie |
Mais toi, tu manque à l’appel, ma vieille branche de campagne |
Mon seul arbre de NoÃ"l, mon mât de cocagne |
Auprès de mon arbre je vivais heureux |
J’aurais jamais dÃ" m'Ã(c)loigner d’mon arbre |
Auprès de mon arbre je vivais heureux |
J’aurais jamais dÃ" le quitter des yeux |
Je suis un pauvre type, j’aurais plus de joie |
J’ai jeté ma pipe, ma vieille pipe en bois |
Qu’avait fumé sans s’fâcher, sans jamais m’brÃ"ler la lippe |
L’tabac d’la vache enragÃ(c)e dans sa bonne vieille tête de pipe |
J’ai des pipes d'Ã(c)cume ornÃ(c)es de fleurons |
De ces pipes qu’on fume en levant le front |
Mais j’retrouverai plus ma foi, dans mon coeur ni sur ma lippe |
Le goÃ"t d’ma vieille pipe en bois, sacré nom d’une pipe |
Auprès de mon arbre je vivais heureux |
J’aurais jamais dÃ" m'Ã(c)loigner d’mon arbre |
Auprès de mon arbre je vivais heureux |
J’aurais jamais dÃ" le quitter des yeux |
Le surnom d’infâme me va comme un gant |
D’avecque ma femme, j’ai foutu le camp |
Parce que depuis tant d’annÃ(c)es c'Ã(c)tait pas une sinÃ(c)cure |
De lui voir tout l’temps le nez au milieu de la figure |
Je bas la campagne pour dÃ(c)nicher la |
Nouvelle compagne valant celle-là |
Qui, bien sÃ"r, laissait beaucoup trop de pierres dans les lentilles |
Mais se pendait à mon cou quand j’perdais mes billes |
Auprès de mon arbre je vivais heureux |
J’aurais jamais dÃ" m'Ã(c)loigner d' mon arbre |
Auprès de mon arbre je vivais heureux |
J’aurais jamais dÃ" le quitter des yeux |
J’avais une mansarde pour tout logement |
Avec des lÃ(c)zardes sur le firmament |
Je l’savais par coeur depuis et pour un baiser la course |
J’emmenais mes belle-de-nuit faire un tour sur la grande ourse |
J’habite plus d' mansarde, il peut dÃ(c)sormais |
Tomber des hallebardes, je m’en bats l’oeil mais |
Mais si quelqu’un monte aux cieux, moins que moi j’y paie des prunes |
Y a cent sept ans qui dit mieux, que j’ai pas vu la lune |
Auprès de mon arbre je vivais heureux |
J’aurais jamais dÃ" m'Ã(c)loigner d' mon arbre |
Auprès de mon arbre je vivais heureux |
J’aurais jamais dÃ" le quitter des yeux |