
Data di rilascio: 19.09.2017
Etichetta discografica: Sonodisc
Linguaggio delle canzoni: francese
Qu'est-ce que tu deviens(originale) |
J’aimerais savoir qu’est-ce que tu d’viens, gars |
Ça fait un bail qu’on s’est pas croisé |
— Un pote de longue date (ouais)… Qu’est-ce que tu deviens? |
J’croise un d’mes anciens potes alors que le temps m’presse |
Un vieux, un ancien, un d’ceux avec qui j’avais fait la promesse |
Que jamais on se séparait, malgré le temps qui passe |
Mais l’amitié s’affaisse et face au temps s’efface |
Et maintenant face à face, j’aimerais savoir qu’est-ce que tu deviens? |
Toujours le même mot qui revient, en bref «rien» |
Toujours les mêmes phrases dans la bouche de ceux que je croise, |
ça en devient lassant |
Toujours le même, toujours moi-même ou toujours présent |
Quand on me dit que la vie est longue, c’est dur à croire car elle nous largue |
Tant d’ambitions, rêves inachevés, c’est pas là que j’veux que ma vie s’achève |
Tant de contraintes, tant de mois qui passent, des pertes de potes, tout ça, |
ça pèse |
On vit au jour le jour avec nos contre et puis nos pour |
Euphorie éphémère, rien de fameux, marre de voir les mêmes gosses affamés |
Si je cours après la FAMA, c’est qu’il faut de la maille pour la famille |
Mare d’voir ma mère se tuer dans des taffs beaucoup trop indigne |
A l’A.N.P.E. |
d’une croix elle signe, des gens rient, et son cœur à elle saigne |
Témoin de tant de scène pathétique dans ma vie, ça se sent dans ma voix |
J’veux grimper près du bon Dieu sans qu’il fasse trop secouer l’arbre |
Atterrir sur le parquet ou le marbre, j’veux pas dans les billets, |
je veux mordre |
Voilà ce que m’a dit un pote de longue date submergé par de grosses dettes |
Je sais pas ce qu’il est devenu, mais sur sa réussite, j’ai de gros doutes |
Qu’est-ce que tu deviens? |
Cette même question revient et toujours sans réponse |
Le temps, combien? |
À passé, trop d’amis perdus meurent dans nos pensées |
Qu’est-ce que tu deviens? |
Cette même question revient et toujours sans réponse |
Le temps, combien? |
À passé, trop d’amis perdus meurent dans nos pensées |
— Allô? |
— Allô, bonjour, est-ce que je pourrais parler à Monsieur Alfred s’il vous |
plait? |
— Oui, c’est moi |
— Yo, Alfred? |
— Ouais? |
— C'est Test, Max de phase |
— Nonnnn … |
— Ouais, si, si j’t’assure. |
Eh j’ai vu dans les journaux, là, t’as bien réussi |
toi, vas-y raconte-moi un peu comment ça s’est passé |
Depuis le temps séparé de tous, de toi, ma direction j’ai pris |
Les îles au sud des Canaries, des miss autours de moi, j’en grille |
Enfin mérité, 10 ans de galère de gré, pour plaire à tous |
J’ai cru que jamais j’aurai palace, la maille, une meuf en douce |
Tranquille pour toi, content de voir que tu vis bien |
Je roule en Merco le jour, le soir la Porsche pour un gala galère |
Pour moi fini le temps, 6 heures dans le froid au grand bal du monde |
J’ai honte, on rit quand même quand je pense à nos rondes |
Ah ! |
Tu te rappelles encore de ça |
Qu’est-ce que tu crois? |
J’ai fait le bon, rangé les douilles pour baiser |
Faire du blé au sachet blanc pour moi fini de tomber |
Une vie de pacha, pas chère, maintenant ma viande est cacher |
Chaque ceau-mor, paroles, reprises me vaut une vente aux enchères |
Ça se passe bien, alors la vie est pas chère pour toi |
Et toi raconte, les meufs, la maille, toujours aussi bien servi? |
Jamais en peine de go, j’me souviens chouchou des raclis |
Toujours dans le ghetto, fonce-dé au shit, je deal, j’suis armé |
Je palpe des métaux au shit, pas la peine de t’enlarmer |
Dis-moi la vie te sourit ainsi, je croyais que le partage était |
Kit pour tous à ce que j’ai entendu, là-haut t’es tombé |
Tu roules en Merco, ce que l’on roule ici, nous c’est le bedo |
Trop d’embrouilles bêtes, les frères se cannent même pour un mégot |
Arrête, je flippe pour toi ici-bas, pourtant la musique t’avait |
Donné tout ce qu’il fallait, maille, célébrité, tout ce que tu en bavais |
Sache qu'à chaque heure qui passe, il y a un de mes potes qui saute, |
mes neurones grillent |
Coma éveillé, voyons si ma chienne de vie part en vrille, en vrac |
Cette putain de vie s’accroche à moi comme un junkie au crack |
J’vois maintenant ta vie, face à moi rien de plus minable |
Cases remplis à bloc, me moque de tous ces faux marchands de sable |
Vivre peu, autant vivre bien, du shit dans une main |
Le Glock dans l’autre, ça te choque, à chaque rime que je lâche |
Anecdote d’une sale époque |
Qu’est-ce que tu deviens? |
Cette même question revient et toujours sans réponse |
Le temps, combien? |
À passé, trop d’amis perdus meurent dans nos pensées |
Qu’est-ce que tu deviens? |
Cette même question revient et toujours sans réponse |
Le temps, combien? |
À passé, trop d’amis perdus meurent dans nos pensées |
— Ahlala … Fréko, c’est toi? |
— Ouais, pourquoi? |
— Tu te rappelles plus de moi? |
Karine |
— Ah ouais, alors? |
— Qu'est-ce tu d’viens? |
— Oh, comme d’hab'… T’sais tout va … C’est comme ça quoi … |
T’façon t’as mon numéro, tu m’lâches le tien et on s’appelle |
— Eh Freko |
— Ouais |
— Viens on va pécho un whisky, lâche la go … |
Mec, mec où est le Coca-Cola? |
Bip, bip, mon Motorola, allô? |
Mais merde, elle me prend pour un con |
On s’est donné nos numbers, je lui ai dit: «Viens chez moi», elle m’a dit :" |
non" |
J’veux que tu sois, ma p’tite copine, ma copinette |
Et que j’me prenne pas la tête pour des clopinettes |
Sinon j’te casse en deux |
Eh Fréko, calme toi, c’est une feu-meu |
Et alors. |
On dit de moi j’suis un psychopathe |
J’ai failli vache-cra une nana à coups de batte |
Alors aime moi, ou sinon non |
Quand même pas, Fréko Ding, ah, Fréko Ding aïe |
Et chaque jour avec tes potes: salut, quoi de neuf? |
Comme d’hab'? |
La routine |
Les mêmes pas, la même bouffe, mêmes hamburgers, mêmes chiche-kebabs |
Sauf quand tu veux être mignon, les jours de rendez-vous |
«Salade, tomate ?», ouais mais aujourd’hui sans oignons, sinon sur le banc, |
c’est le même dégoût |
Et quand on te demande: «Qu'est-ce que tu deviens ?», tu réponds: |
«Tu sais moi, le malchanceux, le poisseux, c’est moi, mais ça va changer d’ici |
six mois» |
Ouais, il y a 3 ans sur ce même banc c'était déjà le même discours |
Je dis pas que t’as pas manqué de bol, mais le temps a passé |
Des gens de ta classe ont des taffs stables |
Un autre bientôt papa, ils ne sont peut-être pas ministre non plus mais dans |
les taffs ne stagnent plus |
Et moi qui suis-je pour te parler ainsi? |
Juste un pote qui repassera dans 6 |
mois devant ce banc |
Et qui aimerait bien ne plus t’y voir assis |
Il s’agit de ceux et de celles qui marchaient sur les mêmes chemins que toi |
Potes d’un jour, passé trop vite, potes qui ne te côtoient plus |
À tes côtés, ils n’y sont plus, quittés un jour où ils t’ont dit |
«Bon, bah à demain» puis plus rien, qu’est-ce que tu deviens? |
(traduzione) |
Vorrei sapere che diavolo stai combinando, ragazzo |
È passato un po' di tempo da quando ci siamo incontrati |
"Amico di lunga data (sì)... cosa stai combinando?" |
Incontro uno dei miei vecchi amici quando il tempo mi stringe |
Un vecchio, un anziano, uno di quelli con cui ho fatto la promessa |
Che non ci siamo mai lasciati, nonostante il passare del tempo |
Ma l'amicizia si affievolisce e di fronte al tempo svanisce |
E ora faccia a faccia, vorrei sapere che ne è stato di te? |
Sempre la stessa parola che torna, insomma "niente" |
Sempre le stesse frasi in bocca a chi incontro, |
diventa noioso |
Sempre lo stesso, sempre me stesso o sempre presente |
Quando mi dicono che la vita è lunga, è difficile crederci perché ci lascia |
Tante ambizioni, sogni incompiuti, non è lì che voglio che la mia vita finisca |
Tante costrizioni, tanti mesi che passano, la perdita di amici, tutto questo, |
pesa |
Viviamo giorno per giorno con i nostri svantaggi e poi i nostri pro |
Euforia effimera, niente di famoso, stanco di vedere gli stessi ragazzini affamati |
Se corro dietro alla FAMA, è perché abbiamo bisogno di una rete per la famiglia |
Stanco di vedere mia madre suicidarsi in cose troppo indegne |
All'A.N.P.E. |
segna una croce, la gente ride e il suo cuore sanguina |
Ho assistito a così tante scene patetiche nella mia vita, si vede nella mia voce |
Voglio arrampicarmi vicino al buon Dio senza che lui scuota troppo l'albero |
Atterra sul parquet o sul marmo, non voglio nei biglietti, |
voglio mordere |
Ecco cosa mi ha detto un amico di lunga data che era sopraffatto da grossi debiti |
Non so cosa ne sia stato di lui, ma sul suo successo ho seri dubbi |
Cosa stai diventando? |
Questa stessa domanda si presenta e ancora senza risposta |
Tempo, quanto? |
In passato, troppi amici perduti muoiono nei nostri pensieri |
Cosa stai diventando? |
Questa stessa domanda si presenta e ancora senza risposta |
Tempo, quanto? |
In passato, troppi amici perduti muoiono nei nostri pensieri |
- Pronto? |
"Salve, salve, posso parlare con Monsieur Alfred, per favore?" |
per favore? |
- Si sono io |
"Ehi, Alfred?" |
- Sì? |
— Questa è la fase Test, Max |
— Nonnn... |
"Sì, sì, se te lo assicuro. |
Ehi, ho visto sui giornali, ecco, hai fatto bene |
vai a dirmi come è andata |
Dal tempo separato da tutto, da te, ho preso la mia direzione |
Le isole a sud delle Canarie, mi mancano intorno, sto bruciando |
Finalmente meritati, 10 anni di stenti, per accontentare tutti |
Ho pensato che non avrei mai avuto palazzo, la maglia, una ragazza in morbido |
Facile per te, felice di vedere che vivi bene |
Di giorno guido una Merco, la sera la Porsche per una cambusa di gala |
Per me il tempo è finito, 6 ore al freddo al grande ballo del mondo |
Mi vergogno, ridiamo ancora quando penso ai nostri giri |
Ah! |
Lo ricordi ancora |
Cosa ne pensi? |
Ho fatto la cosa giusta, ho messo via le conchiglie per scopare |
Preparami un sacco di grano bianco fatto cadere |
Una vita da pascià, a buon mercato, ora la mia carne è kosher |
Ogni copertina, testo e ceau-mor mi procura un'asta |
Sta andando bene, quindi la vita ti costa poco |
E dirti, le ragazze, la maglia, sempre così ben servite? |
Mai in pena di andare, mi ricordo tesoro dei raclis |
Ancora nel ghetto, vai per l'hashish, mi occupo, sono armato |
Sento metalli con hashish, non c'è bisogno di piangere |
Dimmi che la vita ti sorride, quindi ho pensato che fosse la condivisione |
Kit per quanto ho sentito, lassù sei caduto |
Tu guidi Merco, quello che guidiamo qui, siamo a letto |
Troppe liti stupide, i fratelli si picchiano a vicenda anche per un mozzicone di sigaretta |
Smettila, sto impazzendo per te quaggiù, eppure la musica ti ha preso |
Ha dato tutto, maglia, fama, qualunque cosa tu abbia sbavato |
Sappi che ogni ora che passa c'è uno dei miei amici che salta, |
i miei neuroni si esauriscono |
Sveglio in coma, vediamo se la mia cagna della vita va in testacoda, sciolta |
Questa fottuta vita mi si aggrappa come un drogato di crack |
Ora vedo la tua vita, davanti a me niente di più squallido |
Scatole piene, non importa di tutti questi falsi omini di sabbia |
Vivi poco, tanto vale vivere bene, hashish in una mano |
La Glock nell'altra, ti sconvolge, ogni rima che faccio cadere |
Aneddoto di un brutto momento |
Cosa stai diventando? |
Questa stessa domanda si presenta e ancora senza risposta |
Tempo, quanto? |
In passato, troppi amici perduti muoiono nei nostri pensieri |
Cosa stai diventando? |
Questa stessa domanda si presenta e ancora senza risposta |
Tempo, quanto? |
In passato, troppi amici perduti muoiono nei nostri pensieri |
"Ahlala... Freko, sei tu?" |
"Sì, perché?" |
"Ti ricordi più di me?" |
Carina |
"Oh sì, allora?" |
"Che diavolo stai facendo?" |
"Oh, come al solito... lo sai che va tutto bene... è così... |
In qualche modo hai il mio numero, mi fai avere il tuo e ci chiamiamo |
— Ehi Freko |
- Sì |
"Dai, prendiamo un whisky, lasciamo andare... |
Amico, amico, dov'è la Coca-Cola? |
Bip, bip, il mio Motorola, ciao? |
Ma merda, lei mi prende per uno stupido |
Ci siamo dati i nostri numeri, ho detto: "Vieni a casa mia", ha detto, " |
No" |
Voglio che tu sia, la mia ragazza, la mia ragazza |
E che non prendo la testa per gli hobby |
Altrimenti ti spezzo in due |
Ehi Fréko, calmati, è un fire-meu |
E allora. |
Dicono che sono uno psicopatico |
Ho quasi picchiato una ragazza con una mazza |
Quindi amami, oppure no |
Ancora no, Fréko Ding, ah, Fréko Ding ahi |
E ogni giorno con i tuoi amici: ciao, che succede? |
Come di solito'? |
Routine |
Stessi passaggi, stesso cibo, stessi hamburger, stessi kebab |
Tranne quando vuoi essere carino, negli appuntamenti |
"Insalata, pomodoro?", si ma oggi senza cipolle, altrimenti in panchina, |
è lo stesso disgusto |
E quando ti viene chiesto "Cosa stai facendo?", rispondi: |
"Mi conosci, quello sfortunato, appiccicoso, sono io, ma da qui cambierà |
sei mesi" |
Già, 3 anni fa su questa stessa panchina era già lo stesso discorso |
Non sto dicendo che sei stato sfortunato, ma il tempo è passato |
Le persone della tua classe hanno un lavoro fisso |
Presto un altro papà, potrebbero non essere nemmeno un ministro ma dentro |
i lavori non ristagnano più |
E chi sono io per parlarti in questo modo? |
Solo un amico che tornerà tra 6 |
mesi davanti a questa panchina |
E chi non vorrebbe più vederti seduto lì |
Riguarda coloro che hanno percorso i tuoi stessi percorsi |
Un giorno amici, passati troppo in fretta, amici che non ti conoscono più |
Al tuo fianco, se ne sono andati, se ne sono andati un giorno quando te l'hanno detto |
"Beh, ci vediamo domani" poi niente, che ne è di te? |
Nome | Anno |
---|---|
7ème sens | 2017 |
J'fuck | 2017 |
Mangeur de pierres ft. Freko | 2017 |
Trust Me ft. Axis | 2016 |
Paris la nuit | 2019 |
Pas de vie sans haine ft. Axis | 2017 |
Attaque a mic armee ft. ATK, Zoxea | 2010 |
Corde raide ft. ATK, Alpha Wann, Sear Lui-Meme | 2016 |
Les rêves partent en fumée ft. Cyanure | 2017 |
Ecoute, écoute | 2019 |
Psychopathe | 2019 |
Sortie de l'ombre | 2017 |
Pas de vie sans haine ft. DJ Tacteel | 2017 |
Burning zone | 2017 |
L'affaire hot dog | 2017 |
Heptagone | 2017 |
Tuer ou mourir | 2017 |
Ma mort ft. Fredy K, oxmose | 2017 |
Méfie-toi | 2017 |
20 ans | 2017 |