Informazioni sulla canzone In questa pagina puoi trovare il testo della canzone Corde raide, artista - Nekfeu.
Data di rilascio: 24.03.2016
Linguaggio delle canzoni: francese
Corde raide(originale) |
Encore un énième couplet coupé au gout du sol |
Sur un air de déjà vu et ça me lasse tout comme les coups du sort |
Mais je l’aime tellement tellement que j’finis par la chanter |
Et j’bois bêtement bêtement que j’me détruis la santé |
Pour être stylé les ados préfèrent dealer de la dope |
Alors j’ai décidé de prendre ma destinée dos à dos |
Et je prends ce don comme un cadeau empoisonné |
Ça devient dur et dis-toi, c’est les mots d’un passionné |
J’avance comme je peux à base d’art et d’astuce |
A base de rimes et me parle pas de mon statut d’artiste |
A l’aveuglette et nos vies sont comme des porcelaines |
Ça joue des coudes et, quand ça casse, seul les plus forts se lèvent |
Pendant qu’certains rêvent de biff et de corps de rêves |
D’autres rêvent de vivre ailleurs que sur la corde raide |
S’il reste encore de l’aide, j’saisirais bien une main tendue |
Bien entendu, j’te rendrai la pareille quand ce sera moins tendu |
Aux premières loges à chaque lever d’soleil, ça t’fait même plus sourire |
T’as perdu l’sommeil à choisir de vivre comme une chauve-souris |
T'établis tout un dispositif pour rester positif |
Parfois y’a tout qui t’horrifie, parfois tu t’poses et tu kiffes |
Y’a des jours avec, des jours sans, des coups d’foudre et puis des coups d’sang |
Tout m’semble troublé, ça en devient étouffant |
Pour les blessures du quotidien, y’a ni remèdes ni pansements |
Mais, en c’moment, c’est Carpe Diem, c’est pas plus mal en y repensant |
Sur la corde raide, éloigné d’tes rêves |
Je perds mon temps ainsi qu’mon teint, seuls mes frères se lèvent |
J’traîne ma haine et ma dégaine et mon air insolite |
Dis toi, l’ami, j’ai la tête dure et puis les reins solides |
J’aurais du cané quand j'étais sous sky, maintenant dis leur que c’est dead |
J’suis XXX j’compte, sur l’argent d’la rue pas des CD’s |
Dis leur que j’dis pas d’la merde, que j’ai plus d’temps à perdre |
Que j’fasse mes dièses vite avant que le démon m’appelle |
C’est vrai qu’ils font d’la peine ces fiottes à rapper mon vécu |
J’ai arrêté les études pour les gros culs et les écus |
Si je dois douiller, gros, j’irai l’faire pour un gros billet vert |
De l'éthanol dans les veines, j’resterai pas en bas de l'échelle |
Le temps m'échappe donc les minutes sont chères |
Faut que j’amasse beaucoup d’Pascal pour qu’les pétasses s’enchaînent |
Sur la corde raide mais je vis sans stress |
Des pillons par centaines, ma tête un vrai chantier |
Sëar Lui-Même ! |
On tend l’fil pour faire les acrobates mais peu d’morbacs tiennent dessus |
Mais moi, j’serai pas le gros black, à la fin, qui meurt dans l’film |
Alors j’cravache, la vie, un corps de rêve et j’le saigne |
Mais faut pas qu’la corde raide cède et devienne un cravate |
J’avale l’impuissance qui m’brise l'œsophage, y’a l’talent |
Mais pas d'échange équivalent, pas d’pierre philosophale |
J’fais mon trou comme Pand’or Gwen et Nekfeu si tu crois qu’tu m’endors |
Lyrics en or, trop nerveux, j’passe par la nêtre-fe |
J’suis pressé, fils, que tu comprennes l’impasse, leur syntaxe |
Des gens sympas demandent de faire un pas en face d’un précipice |
Beaucoup vivent dans une tombe de larmes, les miennes sont sèches |
Et seum sans cesse, une feuille sans sève qui tombe de l’arbre |
Sur la corde raide, éloigné d’tes rêves |
Je perds mon temps ainsi qu’mon teint, seuls mes frères se lèvent |
J’traîne ma haine et ma dégaine et mon air insolite |
Dis toi, l’ami, j’ai la tête dure et puis les reins solides |
Dans mon cerveau à l’architecture sombre l’anarchie est une bombe |
Y’a pas d’chimère à Paris mais, par magie, j’fais du son |
Tu m’vois peut être alarmiste mais tu t’trompes, c’est la vie |
J’rappe pour les petits mecs, dès la primaire, qu’on a mis près du fond |
Il s’agit d’exclusion au pays des Droits de l’Homme |
Mais les rues grondent quand les plus cons obéissent et charbonnent |
L’argent est roi, faudrait quitter l’royaume |
Avant les lois, y’a nos idées, va t’faire niquer, j'écris milles textes loyaux |
La corde est raide mais ma horde est prête, mec |
Qu’importe les chèques, j’fais rien sans l’accord des frères |
On fait du lourd avec Arse et Pand’Or |
Moi, j’ai pas fait Temps Mort mais j’vais taffer pour que t’achètes encore |
Caféine MC: mon fond est amer mais j’fais péter la forme |
J’vais dompter la bête puis dresser la corde, yeah |
Dépose le mic hein je sors de l’arène corps de balai |
Mais j’ai la ceinture avec le grapin, toutes sortes de gadgets |
Phaal ! |
Tu kiffes quand le boug fais surface |
Je lâche un putain d'12 fait sur place |
L’argent est l’nerf de la guerre, j’cherche l’effort de paix |
Même sur la corde raide, j’peux pas faire de la merde |
J’ai des gros 16 dans mon teddy, hey, les gars |
Dites aux chefs d'État que nul n’est prophète dans son treillis |
J’ai les mixtapes et les structures d’or |
Tu testes puis le cimetière sera ton futur proche |
Sur la corde raide, éloigné d’tes rêves |
Je perds mon temps ainsi qu’mon teint, seuls mes frères se lèvent |
J’traîne ma haine et ma dégaine et mon air insolite |
Dis toi, l’ami, j’ai la tête dure et puis les reins solides |
D’accord, j’te l’accorde, c’est dense sous la pression, trop tendus |
Les nuages craquent, débordent, dehors, il pleut des cordes de pendus |
Lignes parallèles comme des barreaux, on s’y accroche |
Comme des bateaux s’y approche |
XXX qui s'écorche comme des garrots |
XXX ou bien triste XXX te coupe-t-il le souffle |
Où est ce ton seul salut que tes mains tiennent? |
Les bras tendus en voie d’extinction, à force de crier |
C’est l’extinction de voix et tu ne peux plus prier |
Ou seulement dans leur œil ou sous leur dissection |
Monsieur le deuil, j’ai bien reçu votre accusé de déception |
Au bout d’une corde qui m’entrainerait |
J’lacherais ceux qui me poussent dans l’ravin |
Pas ceux qui me retiennent, c’est ceux-ci que j’entraînerais |
On vit nos vies sans réfléchir, des fois à cent à l’heure |
Parfois on s’trompe, nos ambitions fixées sur un leurre |
Toujours sur la corde raide et c’est pas prêt de s’arranger |
Pendant que j’regarde le monde et rien n’a jamais changé |
Ils veulent qu’on travaille pour survivre, qu’on travaille pour les enrichir |
Aller au taf tout les jours, tenir le coup sans réfléchir |
J’perds des proches en chemin, gardez moi une petite place |
J’essaye d’avancer mais quoi qu’je fasse le temps passe |
15 ans que 'j'écris des textes et j’ai toujours des choses à dire |
La vie s’complique, c’est vrai, mais j’garde toujours du temps pour rire |
Et si le sort ne me tue pas, ne le laisse pas t’affaiblir |
C’est c’que m’a dit Fredy, juste un peu avant d’partir |
(traduzione) |
Ancora un altro verso tagliato al gusto della terra |
A un'aria di deja vu e mi stanca proprio come i colpi del destino |
Ma lo amo così tanto che finisco per cantarlo |
E bevo stupidamente stupidamente che distruggo la mia salute |
Per essere alla moda, gli adolescenti preferiscono occuparsi di droga |
Così ho deciso di portare il mio destino schiena contro schiena |
E prendo questo dono come un dono avvelenato |
Diventa difficile e dire a te stesso, queste sono le parole di un appassionato |
Avanzo come posso basandomi sull'arte e l'astuzia |
Basato su rime e non parlarmi del mio status di artista |
Ciecamente e le nostre vite sono come la porcellana |
Spinge e, quando si rompe, si alzano solo i più forti |
Mentre alcuni sognano soldi e sognano corpi |
Altri sognano di vivere in un posto diverso da quello sul filo del rasoio |
Se c'è ancora aiuto, prenderei una mano tesa |
Ovviamente ricambierò il favore quando sarà meno teso |
In prima fila ad ogni alba, ti fa persino sorridere |
Hai perso il sonno scegliendo di vivere come un pipistrello |
Hai impostato un intero schema per rimanere positivo |
A volte tutto ti fa orrore, a volte ti siedi e lo ami |
Ci sono giorni con, giorni senza, amore a prima vista e poi spargimento di sangue |
Tutto sembra travagliato, diventa soffocante |
Per le ferite di tutti i giorni, non ci sono cure o bende |
Ma, in questo momento, è Carpe Diem, non è così male a pensarci |
Sul filo del rasoio, lontano dai tuoi sogni |
Spreco il mio tempo e la mia carnagione, solo i miei fratelli si alzano |
Trascino il mio odio e il mio rinvio e il mio aspetto insolito |
Te lo dico, amico, ho la testa dura e poi i reni forti |
Avrei dovuto sparare quando ero sotto il cielo, ora digli che è morto |
Sono XXX, sto contando, sui soldi della strada, non sui CD |
Dì loro che non dico un cazzo, che ho più tempo da perdere |
Che preparo velocemente i miei coltelli prima che il demone mi chiami |
È vero che infastidiscono queste ragazzine a raccontare la mia esperienza |
Ho smesso di studiare per soldi e culi grossi |
Se devo coccolarmi, fratello, lo farò per un grosso biglietto verde |
Etanolo nelle vene, non rimarrò in fondo alla scala |
Il tempo mi sfugge, quindi i minuti sono costosi |
Devo raccogliere molto Pascal in modo che le femmine si seguano |
Sul filo del rasoio ma vivo senza stress |
Pilastri a centinaia, la mia testa un vero cantiere |
Sëar stesso! |
Allunghiamo il filo per fare gli acrobati ma pochi morbac ci si aggrappano |
Ma non sarò il negrone che muore nel film |
Quindi frusto, la vita, un corpo da sogno e lo sanguino |
Ma non lasciare che il filo del rasoio ceda e diventi un pareggio |
Ingoio l'impotenza che mi rompe l'esofago, c'è talento |
Ma nessuno scambio equivalente, nessuna pietra filosofale |
Faccio il mio buco come Pand'or Gwen e Nekfeu se pensi di farmi addormentare |
Testi in oro, troppo nervoso, vado attraverso la nêtre-fe |
Ho fretta, figliolo, che tu capisca l'impasse, la loro sintassi |
Le brave persone chiedono di fare un passo davanti a un precipizio |
Molti vivono in una tomba di lacrime, i miei sono asciutti |
E incessantemente seum, una foglia senza linfa che cade dall'albero |
Sul filo del rasoio, lontano dai tuoi sogni |
Spreco il mio tempo e la mia carnagione, solo i miei fratelli si alzano |
Trascino il mio odio e il mio rinvio e il mio aspetto insolito |
Te lo dico, amico, ho la testa dura e poi i reni forti |
Nel mio cervello con un'architettura oscura l'anarchia è una bomba |
Non c'è chimera a Parigi ma, per magia, emetto il suono |
Potresti vedermi come un allarmista ma ti sbagli, questa è la vita |
Rap per i ragazzini, dalle primarie, che mettiamo vicino al fondo |
Si tratta di esclusione nella terra dei diritti umani |
Ma le strade rimbombano quando i più stupidi obbediscono e bruciano |
Il denaro è il re, dovremmo lasciare il regno |
Prima delle leggi ci sono le nostre idee, vaffanculo, scrivo mille testi fedeli |
La corda è tesa ma la mia orda è pronta, amico |
A prescindere dai controlli, non faccio nulla senza il consenso dei fratelli |
Andiamo pesanti con Ass e Pand'Or |
Io, non ho fatto Temps Mort, ma lavorerò perché tu lo compri di nuovo |
Caffeine MC: il mio background è amaro ma sono in ottima forma |
Domerò la bestia e poi raddrizzerò la corda, sì |
Metti giù il microfono eh esco dall'arena del corpo di scopa |
Ma ho preso la cintura con il rampino, tutti i tipi di gadget |
Phaal! |
Ti piace quando l'insetto emerge |
Lascio cadere un fottuto 12 fatto sul posto |
Il denaro è il nervo della guerra, sto cercando lo sforzo di pace |
Anche sul filo del rasoio, non posso fare un cazzo |
Ho 16 anni nel mio orsacchiotto, ehi, ragazzi |
Dì ai capi di stato che nessuno è profeta nelle sue fatiche |
Ho i mixtape e le strutture dorate |
Metti alla prova, quindi il cimitero sarà il tuo prossimo futuro |
Sul filo del rasoio, lontano dai tuoi sogni |
Spreco il mio tempo e la mia carnagione, solo i miei fratelli si alzano |
Trascino il mio odio e il mio rinvio e il mio aspetto insolito |
Te lo dico, amico, ho la testa dura e poi i reni forti |
Va bene, te lo concedo, è denso sotto pressione, troppo teso |
Le nuvole si incrinano, traboccano, fuori piovono corde di impiccati |
Linee parallele come sbarre, ci aggrappiamo a loro |
Mentre le navi si avvicinano |
XXX dalla pelle come lacci emostatici |
XXX o triste XXX ti toglie il fiato |
Dov'è la tua unica salvezza che le tue mani tengono? |
Braccia tese che si estinguono per le urla |
La voce si sta affievolendo e non puoi più pregare |
O solo nei loro occhi o sotto la loro dissezione |
Signor Mourning, ho ricevuto il suo riconoscimento di delusione |
Alla fine di una corda che mi avrebbe condotto |
Lascerei andare quelli che mi spingono nel burrone |
Non quelli che mi trattengono, questi sono quelli che allenerò |
Viviamo le nostre vite senza pensare, a volte ad una velocità |
A volte ci sbagliamo, le nostre ambizioni fissate su un'esca |
Ancora sul filo del rasoio e non andrà meglio |
Mentre guardo il mondo e nulla è mai cambiato |
Vogliono che lavoriamo per sopravvivere, che lavoriamo per arricchirli |
Vai al lavoro ogni giorno, resisti senza pensare |
Perdo parenti lungo la strada, salvami un posticino |
Cerco di andare avanti, ma qualunque cosa faccia il tempo passa |
15 anni che 'scrivo testi e ho sempre cose da dire |
La vita si complica, è vero, ma ho sempre il tempo per ridere |
E se il destino non mi uccide, non lasciare che ti indebolisca |
Questo è quello che mi ha detto Fredy, poco prima di partire |