Informazioni sulla canzone In questa pagina puoi trovare il testo della canzone Elvis, artista - IAM. Canzone dell'album Anthologie IAM 2008, nel genere Поп
Data di rilascio: 19.06.2008
Etichetta discografica: Capitol
Linguaggio delle canzoni: francese
Elvis |
On offre un trip gratis |
Sous le sol, allongé avec une couronne de lys |
Sans supplice, l’apothéose est à Memphis |
Sur notre liste au regret de te dire tu seras Elvis |
Chill, le patron du crime |
Dans la terminologie des meurtriers de la rime |
10 000 combinaisons des lettres de l’alphabet |
Dans ma bouche comme des balles dans le pistolet |
Du rimeur d'élite, au style divin |
Les foules agitent, micro dans la main |
MC non merci, un poète oui |
Epanoui Khéops envoie la mélodie |
Car overlord Akhénaton, le sombre styleur |
Du phonographe, une gaffe et c’est un malheur |
Pour les SS nazis c’est le stress, j’ai un réflexe |
Et dit yes, sort mon acier et je presse |
Dégage mon fils, j’en ai 6 pour les racistes |
Une seconde de plus ici t’y es Elvis |
Pense à tes chances et danse pour la France |
Sucker t’y es dans ma mire alors appelle une ambulance |
Membre de la MOB, qu’on ne prend pas pour un C.O.N |
Enseigne versatilité, la musicalité |
Avec de l’habileté, à éliminer |
Les MC qui desservent le mal, s’installent, s'étalent |
Signal normal du grand néant verbal |
Enfin gravé dessus leurs pierres tombales |
«Chill a mis un terme à nos carrières musicales» |
Tu demeures dans nos mémoires |
Tu es Elvis, tu es d’histoire |
Et tel un bibelot que l’on achète avant de partir |
Je te ramène à la maison comme un souvenir |
Débloque, descend le froc, on se moque |
Commence à courir, prie pour ne pas mourir |
Car yo', je suis no joke c’est un fait reconnu |
Pointu sera le fer que tu prends dans le cul |
Avant le peace I’m out of here je m’allume un davidoff |
Bye Bye, See you later my brother Saye-n-off |
Rappelle-toi qu’ici les balles crissent |
Un âne comme toi ira rejoindre ce putain de crétin d’Elvis |
Tu seras Elvis |
1975 les gangs pullulent |
Semant la terreur dès qu’apparaît la lune |
En 91 sévissent les retardataires |
IAM déclare la guerre afin d’y mettre un terme |
Car je suis l’overlord Shurik’n Aka Chang-ti |
Symbolisé par le trésor du Kylin |
Auquel tu n’accèderas jamais |
Aussi longtemps que tu te complairas dans les méfaits |
Que tu commets chaque jour que le soleil éclaire |
Tu t’identifies à Gengis Khan accompagné de ses pairs |
L’ancêtre des dictateurs des steppes de Mongolie |
Un jour tu connaîtra la même fin que lui |
En vérité on ne peut attendre aucun respect |
De la part des gens que l’on aime agresser |
Mais y’a une chose que je te rappelle |
C’est que le respect des autres commence par celui |
Qu’on a pour soi-même |
Tu penses forcer l’admiration des gens |
Quand tu arpentes les rues suivi de ton clan |
Mais tout ça n’est que souvenirs, penses-y donc à l’avenir |
Ou tu risques de finir aux côtés d’un perfecto de cuir |
STOP! Plie sous le poids du maître en phonétique |
Du rimeur ironique, du poète diabolique |
Qui émet le souhait que vos âneries finissent |
Avant que je te noie comme les cités d’Atlantis |
Ce n’est pas une belle fin mais c’est ô combien expéditif |
Pour t’envoyer danser le twist aux côtés d’Elvis |