| 9−7, Freeman représente pour son école
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| K.Rhyme Le Roi pur MC Arabica
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| La fine lame apparaît au coeur de la bataille
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| Je tranche dans le vif, reste sur les railles sur le sujet
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| Poussés à s’entasser dans les quartiers
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| Ecartés, rêves, niquer des fourgons blindés
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| Se blinder pour pas se faner, caner
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| Tel un tox, flâner, planer, se faire oublier, prêt à enterrer
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| Le monde se divise en deux parties, le Bien et le Mal
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| Y’a pas cinquante chemins cousin, tu comprends
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| Mes rimes s'étalent, râle, je représente les chacals
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| Pâle à cause des sticks qu’on extermine
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| Comme un tueur à gage nique ces balles
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| Combien de mes potes partent sans me dire au revoir
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| Combien fonctionnent avec des doses en gramme qui parcourent le sang
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| Comme le Mal a parcouru le temps
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| De temps en temps la Foi apparaît
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| On fait du bien après ça disparaît, la réalité de nos jours est dure à accepter
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| Bon paté ou bien se faire chier, il faut choisir, du matin au soir
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| Après l’action comme un pouilleux cherchant des francs
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| Pour assouvir mes désirs de clando, hjo, facile à planter dans le dos
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| Sous l’effet des tah kes gnah cours les kah sah c’est pas facile
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| Jouer le mauvais garçon style le devil
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| Mais le soir dans le quartier c’est pas pareil
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| Les pères dorment, les fils se réveillent
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| Les anges dorment, les bliss se réveillent
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| Le soir dans le quartier j’entend les démons ricaner
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| Contempler l’enfer défoncé c’est pas censé
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| Dépenser sans compter sur la sensé, aussi coincé
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| Marie-janne m’a dévergondée, hanté par le mauvais sort
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| Planté, combien de fois, je compte plus mais y’a toujours la Foi cousin
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| Au sein du vice, matrice du Mal, matricule Freeman
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| Combattre bliss la cible principale, pâle à cause des joints
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| Trop de soucis chez mes frères sur nos terres
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| Protège ton fric, la faim persiste, je piste la pisse du vrai journaliste
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| Insiste avec un m.i.c., loin de moi la politique, critique en connaissance de
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| cause
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| Basique dans mes propos, en haut, c’est pas chez moi, quoi?
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| On peut pas manger dans la même assiette
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| Voie qui je reflète, ceux qui courent devant bas-bec le soir fêter la fuite
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| Cuite avec des whisky secs
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| Ensuite, la suite vient au feeling, on bégaye, la bouche qui bègue
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| Les yeux gonflés, foncer, foncer, pas regarder le passé le futur va s'échapper
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| Pion, c’est pas pour moi, je veux pas couler
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| Tous les jours je trouve des failles dans ton système pour te saoûler
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| Comme tu soûles mes frères, enculé, cité tel un élément perturbateur
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| L’orateur se pose, capte des paroles qui sortent du coeur minot
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| J’ai fais confiance à l'école, à présent zingué mia
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| Je nage dans la merde comme une saule
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| Seul la clef de sol me sert de sol
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| La seule qui m’ait pas trahie pour mon pactole
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| Mon intellect, selecte mes amis, prie pour mes ennemis
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| Et dans mon entourage la rage mène
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| Les frères ramènent les sirènes et moi c’est pareil, pas différent,
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| comme les autres
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| Pourtant sent la différence du sens dans mes textes, cessent les messes basses
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| Le sous-marin émerge, pression, décompression, j’ouvre le sas
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| Ressasse tes souvenir, j’te faisais rire, quoi tu ries plus?
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| Eh pougas, à dix ans, dix ans sont passés pour en arriver là où j’en suis
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| Je suis fatigué, mon Q.I. je le connais pas mais je vois
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| Autour de moi la hala, la foi se perd pour plaire
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| Faire l’intéressant devant son clan
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| Plein de risques, peut-être s’en aller les deux pieds devant
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| Inattendu, comme une garde à vue mes rimes puent la sueur, lueur
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| J’oeuvre pour ma famille, vas-y contemple mon oeuvre
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| Le manoeuvre a fait ces preuves, jette la tienne
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| Comme un homme fidèle jetterait une chienne, une nympho
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| Poto, moralement ça va pas, physiquement ça va pas
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| Les on a pas solution le mic mon appât, le coeur froid, glacé
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| Quand on parle d’ennui je suis rassasié
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| J’ai pas d’chance, le secret et le mensonge rongent ma ville
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| Les diables deviennent des anges et vice-versa
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| Les tables rondes se forment, les jeunes
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| Les hommes se comptent verbalement depuis cent ans
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| Dans la rue t’as pas le temps, le temps de discutailler
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| Deux, trois mots en l’air faut guerroyer
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| Pour mener une vie comme on l’entend, ça y est le peuple c’est réveillé, |
| le côté clair
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| N’est pas en fait, l’imparfait à fait son état pour nous baiser, affaissés
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| Il accroît, rouler, péter, l’impatient se fait sentir pour fuir la terre
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| maudite néné
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| Peinés, enchaînés, conclusions déchaînées, finir dans une cours à tourner
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| Dehors, autour d’un café, les arraches se font à la sans pitié
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| Terré dans un terrier, la loi de la jungle guide pour bouffer, ne pas crever
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| Fonder pour sonder, condés, ma clique défonce comme du shit, mieux que les
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| cachets
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| Allez, va te cacher, du fond des bas fond on voit pas toujours s’qui y’a autour
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| Parfois, les descentes foudroient, pour les rapras c’est pas pour ça
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| Qu’on va pas frapper les verrous derrière les autres
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| Les autres te rotent à la figure après un Vache Qui Rit pain sec
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| L'échec pousse les tox à faire des affaires dans les geôles
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| Les chiffes molles ramassent des claques
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| Quand on fait un pacte avec le diable, rien n’est fiable
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| Reçoit se morceau comme une fable, palpable sont mes feuilles
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| L’oeil ouvert, j’aime le vers, je prépare mon cercueil
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| La confiance, niente, le respect, y’en a plus
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| Comment ne pas y penser, le sang pisse tout autour de nous
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| Trop de vautours, soit censé, clamser pour cent francs
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| Le bon sens brut pour les truands doit s’imposer
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| En effet, plaisanter, j’ai plus le temps
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| Amené à combattre, sent la puissance des combattants de Mars
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| Tu peux en débattre, alors que les autres se prennent un coup de batte
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| Pour des plaques, on blanchit la vie des êtres au noir, l'éternité dans le
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| placard
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| Faut le vouloir, et mouvoir, mon but précis, saisi par l’envie d’un semblant de
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| paradis sur terre
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| On me maudit, suivi à présent, vaillant guerrier du Micro d’Argent
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| Apporte la bonne parole aux gens fréros
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| Chez nous y’a pas de plan, enculé
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| Paix à ceux qui nous ont quittés trop tôt
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| Mortadan en moto, Gomez, c'était des minos, et j’en oublie
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| Pris par la folie, Edouard Toulouse devient leur paradis
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| Combien, combien, combien encore, le mauvais sort nous accable
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| Eh toi en haut écoute les minables
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| Mes pensées voyagent sur les dunes de sable depuis quinze ans
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| Savoir ce que je sais à cet âge, c’est flagrant
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| Les grands restent grands, les petits restent petits sûr certains plient
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| On gagne et puis on survit, eh puis quoi, après
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| Qu’est ce qu’on fait pour ces semblables, blâme, je sort mon arme, flamme, larme
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| Le dragon du profane, qu’elle soit brûlé ton âme comme celle du shitan
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| Fait divers signé Freeman
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| 9−7, l'École Du Micro d’Argent
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| Sous des diamants représente ma famille avant tous
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| Les mecs de rue, tu l’sais, Belsunce, la Fac, Panier, Felix, Piète, Laurier
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| Tous les quartiers de Mars Fait divers |