| Les yeux ébouriffés de complexes, j’me raffistole tant bien que mal
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| Une allure empruntée à un héros de cinéma qui ignore l’axistence des
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| Couleurs
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| Un sourire aussi avenant qu’une porte
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| De prison qui connaît l’existence des voleurs
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| J’suis partout comme ailleurs, transparant et tout seul
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| Second rôle dans un film noir et blanc
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| Elles ont trop, entendu! |
| tes leçons d’politesse, je les oublie, je
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| Regarde devant moi
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| Elles sont trop crues, superflues, tes leçons de tendresse
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| Tes carresses me laissent un goût de tristesse
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| Les yeux ébouriffés de détresse quand elle m’envoie me faire foutre
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| Tranquillement en m’disant qu’j’suis plus drôle, qu’mes amis sont
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| Penibles
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| Tu préfères sans aucun doute, la version élducorée de notre love
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| Story spaghetti
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| Dans laquelle madame serait servie
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| Il va sans dire, j’n’ai pas su regarder devant moi
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| Il peut en rire celui qui s’accroche à ton bras
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| Elles ont trop vécu, entendu! |
| tes leçons d’gentillesses
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| Je t’oublie, je te laisse dérrière moi
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| Elles sont trop crues, superflues, tes belles leçons de fesses
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| J’n’y crois plus
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| Je ne t’aime plus, je te laisse
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| Les yeux éclaboussés de clichés, elle déambule, soigne le mal
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| Par la racine
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| Elle passe l'éponge sur notre pelloche de série b, nos repas
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| Trop arrosés
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| Nos gueules de bois pas assumées, nos histoires d' endimanchés
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| Nos rock’n’roll supermarché, la vie d’un acteur amateur
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| Et d’une actrice un peu râtée qui sont partout comme ailleurs
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| Transparents et tous seuls, à bout de souffle dans un film
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| Noir et blanc |