| Il y a deux hommes en moi, ennemis l’un de l’autre
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| Le fou contre le roi, Judas contre l’apôtre
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| La rage au bout des poings et le cœur sur la main
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| Aujourd’hui Mister Hyde, Docteur Jeckyll demain
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| J’ai contre moi le rêve et pour moi la révolte
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| J’ai la paix sur les lèvres et les doigt sur un colt
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| Je joue avec les femmes à poker interdit
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| Mais je perdrais mon âme à gagner un ami
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| Je joue avec les femmes à poker interdit
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| Mais je perdrais mon âme à gagner un ami
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| Mon corps se bat et mon cœur danse
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| Je suis patience et passion
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| Entre violon et violence
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| Entre violence et violon
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| Je viens de rues bizarres où les guitares électriques
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| Coloraient ma mémoire de rêves d’Amérique
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| Je flottais sur l’Atlantique, de Fender en Gibson
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| Je roulais des mécaniques sans Harley Davidson
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| Et j’allais au «Las Vegas», le diable avait seize ans
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| Mais pour l'école d’en face, l’enfant est un enfant
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| J’allais au bout de ma rue comme au bout de la vie
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| Et j’avais tout connu sans avoir rien appris
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| J’allais au bout de ma rue comme au bout de la vie
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| Et j’avais tout connu sans avoir rien appris
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| Mon corps se bat et mon cœur danse
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| Je suis patience et passion
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| Entre violon et violence
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| Oui, entre violence et violon
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| Il y a deux hommes en moi, l’un prend et l’autre donne
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| L’un condamne celui à qui l’autre pardonne
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| Je suis entré en vie, côté cour, un matin
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| Et j’espère en sortir, en vie, côté jardin
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| Je suis entré en vie, côté cour, un matin
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| Et j’espère en sortir, en vie, côté jardin
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| Mon corps se bat et mon cœur danse
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| Je suis patience et passion
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| Entre violon et violence
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| Entre violence et violon
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| Mon corps se bat et mon cœur danse
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| Je suis patience et passion
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| Entre violon et violence
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| Entre violence et violon |