| On m’a parlé d’elle qu’elle était aussi belle
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| Qu’elle était encore libre, pas vraiment, vraiment libre
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| Puisqu’il y avait un homme, un homme parce qu’il faut vivre
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| Mais la bride était longue et ses nuits agitées
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| Et puis y’a les jalouses, celles qui ont épousé
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| Un mari trop âgé, un homme parce qu’il faut vivre
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| Chacun sa façon de voir, moi, je me souviens d’un soir
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| Que je n’pourrai jamais oublier
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| Chacun sa façon d'être de voir à sa fenêtre
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| Chacun son chemin, chacun sa vérité
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| On m’a dit en souriant qu’elle avait mis longtemps
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| À n’plus parler de moi, mais ce n'était pas vrai
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| Puisqu’il y avait un homme, un homme parce qu’il faut vivre
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| Mais un homme qui l’aimait et qu’elle avait gardé
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| Puis on m’a dit aussi qu’elle m’avait bien menti
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| Mais pas vraiment trompé, un homme parce qu’il faut vivre
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| Chacun sa façon de voir, moi, je me souviens d’un soir
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| Que je n’pourrai jamais oublier
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| Chacun sa façon d'être de voir à sa fenêtre
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| Chacun son chemin, chacun sa vérité, chacun sa vérité
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| Un homme parce qu’il faut vivre, un homme pour se marier
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| Et quitter pour toujours sa jeunesse agitée
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| On s’est aimé très fort, on s’aime sans doute encore
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| Mais on n’peut plus jouer
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| Chacun sa façon de voir, moi, je me souviens d’un soir
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| Que je n’pourrai jamais oublier
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| Chacun sa façon d'être de voir à sa fenêtre
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| Chacun son chemin, chacun sa vérité |