Informazioni sulla canzone In questa pagina puoi trovare il testo della canzone Anatoline, artista - Saez.
Data di rilascio: 21.11.2019
Linguaggio delle canzoni: francese
Anatoline |
Anatoline dis-moi qu’allons-nous faire ensemble\nDans ce monde qui bat jusqu’au cœur de mon ventre\nEst-ce qu’on pourra un jour mettre à jour cet amour\nQui ressemble au démon qui nous appelle à l’ombre\nD’ici moi je vois Dieu aux caresses de l'âme\nQuand tu mets tant de venin d’oxygène à la flamme\nSi nous ne faisons qu’un, mort aux cons, mort au monde\nQui n’ont pour seul destin que brûler les Jocondes\nQu’importe leur morale, qu’importe les poncifs\nDe leurs éducations nous sommes le récif\nFace au conventionnel de leurs tristes prisons\nIls ne sont que frontière et nous sommes l’horizon\nSi tu es mon miroir je serai l’impossible\nÀ voir par le regard nous serons l’invisible\nÀ leurs yeux trop stupides pour comprendre les cieux\nImpossible aux cupides de leur triste bon dieu\nNous serons le plus beau des tableaux de l’humain\nComme un pinceau d’amour l’amour soudain vous peint\nSi l’infinité oui portera ton nom\nPuisque tes doigts de fée savent faire le frisson\nComme une éternité d’un amour horizon\nSait faire de l’univers une simple saison\nEn Enfer avec toi j’irai mille fois plus qu’une\nComme un soleil se couche dans les bras de la Lune\nMarions dans les lits mais jamais sur l’autel\nDes églises qui ne feraient de nous qu’un ciel\nQui n’auraient plus de libre qu'être pris dans la cage\nDe ces oiseaux privés à jamais du voyage\nMoi j’emmerde leurs dieux, leur morale et leurs anges\nMoi j’emmerde tous ceux qui trouvent ça étrange\nSi moi je n’ai de Dieu que cet amour pour toi\nPour toi qui me ressembles du même sexe que moi\nOh non Anatoline l’amour n’a pas de sexe\nQue celui de l’amour et tant pis si ça vexe\nLes tristes conformismes des coutumes des moutons\nTous les impérialismes de la pensée des cons\nEt crois bien oui que quoi qu’en disent les religions\nIl n’est pas de Dieu mon ange qui condamne le frisson\nQu’il soit tout là-haut ou bien qu’il soit en bas\nIl sait que l’amoureux n’a pas besoin de lois\nEt toi qui me fredonnes tous les mots des poètes\nInfinité de toi quand soudain la tempête\nEn tes yeux dit tout bas: prends-moi dans l’océan\nQui jaillira de moi pour faire de toi l’aimant\nQu’en papillons de lune là dans le clair-obscur\nNous nous réincarnions pour soigner la blessure\nEt que l'étreinte nous mène bien plus loin que nous-mêmes\nPour que soudain la peine se transforme en je t’aime\nAnatoline, nous sommes sans doute diaboliques\nMais que le Diable est bon quand il reste biblique\nSi tu es mon péché Dieu que la pêche est bonne\nQuand nos âmes aux plaisirs de la chair s’abandonnent\nNous les indestructibles là comme deux Jocondes\nSoyons cet invincible face au tonnerre qui gronde\nSoyons l'éternité, soyons chaque seconde\nFace à la fin des temps, face à la fin des mondes\nD’un seul cœur unifié oui mais d’un feu d’amour\nQui sait faire de l'éternité lever du jour\nQuoi de mieux pour renaître ouais bien meilleur que soi\nQue de perdre son être à l’intérieur de toi\nEt s’il faut tant mourir, mourir d’amour pour toi\nAlors oui que je meure étouffée dans tes bras\nCar tu le sais mon cœur notre amour sera roi\nPuisqu’il n’est rien ici plus Dieu que toi et moi\nJ’emmerde ceux qui jugent, j’emmerde leur morale\nJ’emmerde ceux qui croient que l’amour est un mal\nJ’emmerde leur bêtise puis leur bienséance\nJ’emmerde leur bon dieu puisque j’ai l’innocence\nD’aimer à cœur ouvert le même sexe que moi\nComme on aime la beauté de retrouver en soi\nLa liberté d’aller au delà les prisons\nPour faire du verbe aimer oui toujours l’horizon |