Traduzione del testo della canzone Les Limites Du Monde - Raphaël
Informazioni sulla canzone In questa pagina puoi leggere il testo della canzone Les Limites Du Monde , di - Raphaël. Canzone dall'album Je Sais Que La Terre Est Plate, nel genere Поп Data di rilascio: 13.03.2008 Etichetta discografica: Delabel Hostile Lingua della canzone: francese
Les Limites Du Monde
(originale)
Je t'écris de mon lit d’hôpital
Où je me remets doucement
De mon accident
Transformer ma chambre en cargo
En pique-nique dingue
Les fêtes de l’automne, du tonnerre
Une tabagie dans les couloirs
Et les petites infirmières
Et les petits plats, hum, t’y croirais pas
Et dès que je pourrai marcher
J’irai à la fenêtre
Prendre les premiers rayons du printemps
Mon vieux copain, j’ai essayé d’imaginer
A quoi pouvait ressembler cette ville il y a mille ans
Avant les périphériques, les publicités, et tout ça
C'était sûrement très bien
J’imagine qu’il y avait des champs et du vent et des étoiles
Je me réjouis de te revoir, de te parler
De faire bouger ce vrai pantin de bois
Depuis quelques semaines, les peupliers se répondent dans la cour
Du sommeil il m’en faut pas plus
Dès que je pourrai marcher, nous serons loin
Le désert sibérien, où tu voudras
Et je laisse la ville et ses rumeurs au milieu du lit défait
De tout ce blanc
Je t’attends pour de bon mon vieux copain
Je meurs des choses pour lesquelles je n’ai pas su mourir
Je meurs des choses pour lesquelles je n’ai pas su mourir
Je sais bien que la Terre est ronde
Je sais bien que la Terre est ronde
So long, mon vieux copain
So long, mon vieux copain
(traduzione)
Ti scrivo dal mio letto d'ospedale
Dove mi sto lentamente riprendendo
Del mio incidente
Trasforma la mia camera da letto in un mercantile
In un picnic pazzo
Feste autunnali, tuoni
Fumare nei corridoi
E le piccole infermiere
E i piattini, um, non ci crederesti
E appena posso camminare
Andrò alla finestra
Cattura i primi raggi di primavera
Il mio vecchio amico, ho cercato di immaginare
Come poteva essere questa città mille anni fa
Prima di dispositivi, pubblicità e tutto il resto
Era sicuramente molto buono
Immagino che ci fossero campi, vento e stelle
Non vedo l'ora di vederti di nuovo, parlare con te
Per muovere questo vero burattino di legno
Da qualche settimana i pioppi si rispondono in cortile
Non ho bisogno di dormire di più
Non appena potrò camminare, saremo lontani
Il deserto siberiano, dove vuoi
E lascio la città e le sue voci in mezzo al letto disfatto