| Une jeune fille amoureuse, un jeune homme qui l’embrasse
|
| Puis quand le cœur est blessé bin la haine le remplace
|
| Et des millions de questions qui dépasse
|
| Si t’avais ligoter l’amour et que tu l’avait en face
|
| On se méprise, on se couche mal sur une lit pris chez l'épicier
|
| Je veillerais sur ta tombe, je les empêcherais d’y pissé
|
| Les pauvres vont mourir, avant que tu y repose en paix
|
| Les lyses qui se détestes à cause de ton appel
|
| Les plais reste ouverte, mais ne saigne presque plus
|
| Je garde le silence mais mes mains reste pleine de plumes
|
| Un costume, j’ai mis et un bouquet de rose en plastique
|
| T’avais le pouvoir de toucher un ours, en faire un artiste
|
| C’est de dessiné l’entourage que d’ouvrir son cœur
|
| Mais pour le fermer il faut le double de courage
|
| On dit que les biberons sont plein de clous
|
| Tout est fait pour qu’ont cherche loin de nous
|
| J’ai les raisins dans mes rêves
|
| Si c’est toi l’amour, déploie tes ailes
|
| Promets-moi que malgré nos cœurs qui saignent
|
| Encore, nous ne sommes pas fous
|
| Des raisins dans mes rêves
|
| Si c’est toi l’amour, montre-moi tes ailes
|
| Promets-moi que malgré nos cœurs qui saignent
|
| Encore, nous ne sommes pas fous
|
| Une jeune fille amoureuse, un jeune homme qui l’embrasse
|
| Puis quand le cœur est blessé bin la haine le remplace
|
| Et des millions de questions qui dépasse
|
| Si t’avais ligoter l’amour et que tu l’avait en face
|
| Maintenant que je t’ai en face, tu vas me dire qui es tu
|
| Si je dois te serrer la main ou bien te tirer dessus
|
| T’ignorer ou bien te lancer les pire insultes
|
| Tu m’as donner tant d’espoir et trop mentis dessus
|
| Je me dis que tu n’es pas si différent que ton cousin la haine
|
| Tu m’as même guider vers cette fille qui n’en valais pas la peine
|
| Je vais te faire payer pour ces larmes versées, cœur percé
|
| Es tu mon allier ou mon adversaire
|
| Une force ou une faiblesse avec ou contre moi
|
| T’avise plus de me manipuler ou je te briserai la tête, renoi
|
| Et tu me regarde avec ton air suffisant
|
| Genre comment ose t’il parlé comme ça à Cupidon?
|
| On t’idéalise, on chante tes louages à tue tête
|
| On t’adule quand ces douilles t’allument quand ça part en sucette
|
| J’pensais pas qu’un jour je te parlerais en face pendant tout un son
|
| Arrache toi boloss je voulais juste quelques explications
|
| Une jeune fille amoureuse, un jeune homme qui l’embrasse
|
| Puis quand le cœur est blessé bin la haine le remplace
|
| Et des millions de questions qui dépasse
|
| Si t’avais ligoter l’amour et que tu l’avait en face
|
| Yeah, Ol Puccino, Ol Kainry, all about love, man
|
| On m’a dit: «Freddy, fais pas ce titre, ta musique est sinistre.»
|
| The Angels |