| Tu viens le soir, danser sur des airs de guitare
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| Et puis tu bouges, tes cheveux noirs, tes lèvres rouges
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| Tu te balances, le reste n'a pas d'importance
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| Comme un soleil, tu me brûles et me réveilles
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| Tu as dans les yeux, le sud et le feu
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| Je t'ai dans la peau
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| Baila baila oh !
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| Toi, toi, ma belle andalouse, aussi belle que jalouse
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| Quand tu danses le temps s'arrête
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| Je perds le nord, je perds la tête
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| Toi, ma belle espagnole, quand tu bouges tes épaules
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| Je n'vois plus le monde autour, c'est peut-être ça l'amour
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| Des airs d'Orient, le sourire et le cœur brûlant
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| Regard ébène, j'aime te voir bouger comme une reine
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| Ton corps ondule, déjà mes pensées se bousculent
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| Comme la lumière, il n'y a que toi qui m'éclaires
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| Tu as dans la voix le chaud et le froid
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| Je t'ai dans la peau
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| Baila baila oh !
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| Toi, toi, ma belle andalouse, aussi belle que jalouse
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| Quand tu danses le temps s'arrête
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| Je perds le nord, je perds la tête
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| Toi, ma belle espagnole, quand tu bouges tes épaules
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| Je n'vois plus le monde autour, c'est peut-être ça l'amour
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| Toi, toi, ma belle andalouse, aussi belle que jalouse
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| Quand tu danses le temps s'arrête
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| Je perds le nord, je perds la tête
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| Toi, ma belle espagnole, quand tu bouges tes épaules
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| Je n'vois plus le monde autour, c'est peut-être ça l'amour
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| Toi, toi, ma belle andalouse, aussi belle que jalouse
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| Quand tu danses le temps s'arrête
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| Je perds le nord, je perds la tête
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| Toi, ma belle espagnole, quand tu bouges tes épaules
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| Je n'vois plus le monde autour, c'est peut-être ça l'amour |