Informazioni sulla canzone In questa pagina puoi trovare il testo della canzone Tic tac, artista - Odezenne. Canzone dell'album sans. chantilly, nel genere Иностранный рэп и хип-хоп
Data di rilascio: 24.11.2008
Etichetta discografica: Universeul
Linguaggio delle canzoni: francese
Tic tac |
Tac / Tic — Tac |
Tic — Tac / Tic — Tac |
Tic — Tac / Tic — Tac |
Tic — Tac / Tic — Tac |
J’ai plus d’stress, mais la vie m’joue des tours |
Tu vois j’m’engraisse, et j’arrête pas les détours |
Les jours J, c’est pas qu’j’rougis, mais j’oublie |
La vie mon joujou, plein d' rencontres et d’bises sur mes jougs |
Vestiges d’un passé qui fut mon bijou |
Maintenant je joue avec ma mémoire à genoux, et j’en joue |
Tic tac |
Mes vieux décors s’entêtent, je jongle avec des visages sur des corps sans tête |
Plus d’plomb dans la tête, que des mirages et des plumes qui m’rendent bête |
M’donnent un destin léger et m’laissent en marge allongé |
J’contourne les obstacles tant qu’je peux, mais l’conteur tourne |
M’amène au point critique, au point qu’j’nécessite une aide médicale, |
c’est l’hic |
Bestial «je combats au poing «qu'jcrie et des tics j’chop |
Hérétique flop, j'écrivais hip hop |
Amène moi une bière ou une civière que j’m'échoue |
Des béquilles ou des quilles dans les choux |
Tic Tac, tic tac tic |
Un nuage d’images floues |
J’pars en vrac avec mon bic |
Bac en poche épique |
Sac «à domatic «Lac de larmes antiques |
De bric à brak |
J’braque ma case en briques |
Ou mieux qu’tout: |
Les souvenir imbriqué d’une belle |
Demoiselle qui m’faisais du zèle |
Et qu’avait tout pour elle |
J’nécessite une autre miss avant ma cécité |
Une voix suave, pas trop épave, douce comme elles savent |
Voilà maintenant ça c’est cité |
Tic — Tac / Tic — Tac |
Comme j’te dis, c’est pas qu’j stress: mais la vie m’joue de tour ! |
Ou plutôt m’joue son tour: |
J’détour des tonnes d’images sans contour |
J'épelle des mots sans voyelle |
J’compte les clopes dans les paquets d’vingt |
J’repette tout l’temps les même refrain |
Pour mes anecdotes, y a pas d’antidote |
Alors tu t’calmes, t'écoutes et tu fais style que t’es mon pote… |
Comme ce vieux focu qui squatte sa chaise au bout d’la rue et qui ma vue |
«Salut !» |
On s'était donné rendez-vous dans dix ans vendu ! |
Tu devais payer ta bière au PMU d’l’avenue ! |
Et l’heure passe, et le repas repasse et leurs pas resassent |
Et ma vie trace, mes os se tassent |
Et moi je trépasse |
Tac / Tic — Tac |
Tic — Tac / Tic — Tac |
Tic — Tac / Tic — Tac |
Tic — Tac / Tic — Tac |
«Aujourd'hui cette vie j’la recommence, je repars à zéro. Oui messieurs dames, |
aujourd’hui je fais repartir le compteur» |
Jeune insouciant, sans souci, en santé de fer |
Je n’ai — jamais connu la guerre |
Ma tête porte une casquette, mon squelette est intact |
Aujourd’hui je n’entends pas le tic tac de la montre |
J’ai les phéromones Axe Inca |
J’suis frais, la vie ne m’a pas trop tricar encore |
Les poules, la gnole, la bamboula… |
J’les supporte sur l’petit doigt, et les fais tourner, mémé… |
Les nénés, les mastiques, baby bombastick |
Ouai j’viens du 92, tiens fume mon shit au pneu |
Eh ouai, j’suis un ne-jeu, qui cause en verlan |
Comme la levrette, vigoureux et séduisant |
Papy, tu fais plus le poids, t’es séché |
Il m’reste encore bien des étés, pour pêcher |
Tu trembles, j’suis souple |
T’as la sagesse, j’ai l’inconscience |
Tu es seul, à moi seul je suis un groupe |
T’as vu plein de paysages |
Moi loin de chez moi, j’me sens dépaysé |
J’m’en super-tape des fjords et des alysées ! |
Mon crédo c’est plus la drague |
Sur les champs Élysée à boire un millésimé |
Mais ça tu peux plus l’faire |
Tu t’retrouves là, tu perds comme un clebs qu’a plus d’flair |
Tu deviens gaga parkinsonien en mode vibro |
Qui se souvient plus de rien |
Le temps a du punch |
«Les vieux sont nos maîtres «Avant de m’enseigner vos préceptes |
Venez gagner au 100m |
Ils s’arrêtent devant une coupe de sequoia couverte de dates historiques. |
Elle prononce un mot étranger qu’il ne comprend pas. Comme en rêve, |
il lui montre un point hors de l’arbre. Il s’entend dire: «je viens de là. |
«Et y retombe, à bout de force |