Informazioni sulla canzone In questa pagina puoi trovare il testo della canzone L'espoir meurt en dernier, artista - Georgio.
Data di rilascio: 22.06.2017
Linguaggio delle canzoni: francese
L'espoir meurt en dernier |
Né d’l’amour sans guérison\nJ’suis un enfant du divorce\nÀ chaque feu rouge je pars au front\nUn maquisard bourré dans les bars de Lisbonne\nDu vin rouge et des promesses voilà d’quoi partir pour un an\nLe bonheur je sais très bien qu'ça dure qu’un temps\nJ’irai au bout d’ma quête\nJe cherche l’apaisement et j’ai la soif de vaincre\nJ’le ferai pour cet adolescent les veines ouvertes\nDans sa salle de bain\nFaut y croire chaque matin\nTu t’rends compte j’vis de ma passion\nFaut qu’on s'élève\nNe regarde pas derrière et prends ma main\nEn plein dans la vingtaine, j’ai l’impression qu’c’est maintenant ou jamais\nOn va d’l’avant même si les r’grets nous courent après\nOn pourra dire qu’on l’aura fait\nLes autres ils diront quoi?\nIls jugeront tel un esprit fermé face à un punk iroquois\nOn essaye de vivre nos rêves même quand on s’affiche en bas\nJ’traine avec des prix Nobel et des mecs pris en flag'\nRésultat, des anecdotes sur Fleury, la Santé ou même Meaux\nOverdose de Paris, d’ces ghettos\nMama lova Papa lov' que les miens soit garants\nJ’dois presque tout à mes parents\nY’a trop d’amour et c’est flagrant\nÉpatant j’vois des bâtards m’envier\nComme moi j’envie d’autres bâtards\nY arriver c’est difficile on laisse du sang sur l'étendard\nJ’veux mes potes près de moi\nIls savent que j’suis ma bête noire\nIl manque N’kruma sur quelques dates, j’dors pas en paix l’soir\nÀ chaque déception on m’répète que c’est ça la vie\nMême face aux destins écourtés de Moushin et Larami\nTrès peu d’monde dans mon cercle d’amis et ohhh\nAvec je veux attraper le bonheur\nC’est mon lasso, c’est mon paradis\nSensible mais pas fragile, beaucoup d’choses m’attendrissent\nTu veux savoir c’que j’ai dans l’bide?\nJ’suis la Loire qui s’jette dans l’Atlantique\nJ’essaye de faire en sorte que chaque jour soit mieux qu’la veille\nPris par la mélancolie, j’respire les vapeurs d’mon pote\nIl m’avait pourtant promis d’arrêter la beuh indienne, tu sais\nCelle qui t’emprisonne dans ton lit\nJ’lui raconte ma vision d’l’Ecosse\nLes plaines plus vertes que sa drogue\nMais pour lui, peu importe\nParfois j’ai peur d’mourir\nIncompris comme Artaud\nJ’recule loin des autres\nJ’veux pas finir entre le marteau et l’enclume\nJ’ai laissé mes doutes les plus dangereux sur le tarmac\nL’aéroport, théâtre à ciel ouvert\nJ’veux être le roi du spectacle\nAdulé, voir mes blessures se refermer\nL’espoir meurt en dernier |