| Tu m’as effleuré délibérément
|
| De toutes façons, tu sais qui j’suis, je sais qui t’es
|
| Tu me fuis dans le rétroviseur
|
| De toutes façons, tu sais qui j’suis, je sais qui t’es
|
| Tu m’as regardé du coin de l'œil
|
| De toutes façons, tu sais qui j’suis, je sais qui t’es
|
| Et quand j’ai donné ce bouquet de fleurs
|
| Madame était à Campanile accompagnée
|
| Arrête sans cesse de t’demander si j’t’aime autant que toi
|
| Contente-toi de vivre avec ça en toi, c’est mieux comme ça
|
| Oh, oh, sache que je te vois
|
| Han, han, j’ai les yeux sur toi
|
| Y’a d’quoi devenir parano car je passe d’un monde à l’autre
|
| Mets ta main dans ma che-po, tu n’verras plus que ton épaule
|
| Une poitrine remplie d’ego, j’fais pas parti d’la déco
|
| Quelques femmes sur les tes-cô, parlons moins fort, les murs écoutent
|
| Est-ce que m’entendre dans les ondes, ça veut dire qu’j’suis chez les autres?
|
| Je me demande si le lion reste roi même dans le zoo
|
| Vis ta p’tite vie limpide pendant qu’ma thune, j’dilapide
|
| Marche avec ceux qui disent que, du pouvoir, j’suis avide
|
| Cette femme est venue vers moi avec un regard qui disait
|
| «Ne me laisse pas passer sans me retenir», alors
|
| Tu m’as effleuré délibérément
|
| De toutes façons, tu sais qui j’suis, je sais qui t’es
|
| Tu me fuis dans le rétroviseur
|
| De toutes façons, tu sais qui j’suis, je sais qui t’es
|
| Tu m’as regardé du coin de l'œil
|
| De toutes façons, tu sais qui j’suis, je sais qui t’es
|
| Et quand j’ai donné ce bouquet de fleurs
|
| Madame était à Campanile accompagnée
|
| Arrête sans cesse de t’demander si j’t’aime autant que toi
|
| Contente-toi de vivre avec ça en toi, c’est mieux comme ça
|
| Oh, oh, sache que je te vois
|
| Han, han, j’ai les yeux sur toi
|
| J’suis en milieu carcéral, je sais bien qu’ces cas sont rares
|
| De toutes façons, qui saura quand ce cœur se cassera?
|
| Tu m’dis: «Tout est relatif», tu m’demandes d'être romantique
|
| Et tu m’demandes de ralentir mais j’suis un voleur à la tire
|
| On s'évite et on s'épie, on s’renifle comme des pit'
|
| On essaie d'éviter le pire, on se l’est dit mais sans le dire
|
| Cela dit, c’est ça la diff', c’est comme marcher dans le vide
|
| Et rien n’est définitif, même pas la carte infinity
|
| Si on s’voit, fais-moi un signe du genre tu bouges un cil
|
| Je serai pas loin, juste assis devant un tableau de Vinci, refrain
|
| Tu m’as effleuré délibérément
|
| De toutes façons, tu sais qui j’suis, je sais qui t’es
|
| Tu me fuis dans le rétroviseur
|
| De toutes façons, tu sais qui j’suis, je sais qui t’es
|
| Tu m’as regardé du coin de l'œil
|
| De toutes façons, tu sais qui j’suis, je sais qui t’es
|
| Et quand j’ai donné ce bouquet de fleurs
|
| Madame était à Campanile accompagnée
|
| Arrête sans cesse de t’demander si j’t’aime autant que toi
|
| Contente-toi de vivre avec ça en toi, c’est mieux comme ça
|
| Oh, oh, sache que je te vois
|
| Han, han, j’ai les yeux sur toi
|
| J’ai les yeux sur toi, je te vois
|
| J’ai les yeux sur toi, je te vois |