Informazioni sulla canzone In questa pagina puoi trovare il testo della canzone Hitman, artista - Oxmo Puccino. Canzone dell'album Opéra Puccino, nel genere Иностранный рэп и хип-хоп
Data di rilascio: 26.04.2018
Etichetta discografica: AllPoints
Linguaggio delle canzoni: francese
Hitman |
Prisonnier Alpha, Tango, Oscar, X, Mike, Oscar matricule sept-cinq-zéro-zéro |
Enchaîné jusqu’au cou, on roule pour mon transfert |
Soit trois gus dans un bus de fer |
D’un coup le maton se lève brièvement brise |
La nuque du chauffeur, la jette par le pare-brise |
C'était mon pote Chiki jusqu’au moment où je demande |
De m'ôter les chaînes et les menottes |
Il aurait jamais dû me braquer c’con |
Personne n'échappe à mon tête-à-queue: il a mourut |
Son téléphone: «Allô Chiki, je te félicite ! Passe au building qu’on fête ça, |
je commande des pizzas» |
Je réponds: «Puccino est fini, j’emmène le champagne |
Alors Tino, qu’est-ce que tu dis de ça ?» |
Au rez-de-chaussée, sapé de rouge |
Chaussé de Clarks, casquette rouge, Uzi sous la pizza |
«Dring dring ! C’est pour la commande !» |
Y a mille mecs, je demande: «Où est Tino Biniki ?» |
Jetée en l’air, la boîte à pizza fais diversion |
M’laisse trois secondes pour qu’ils soient tous morts |
Sauf Donnie Brasco a.k.a Joey Pistone |
«Depuis le film, je sais qui tu es |
T’inquiètes pas fiston, je vais pas te buter |
Il m’avoue, une: que Biniki a lancé un contrat sur ma tête |
Deuze: que le gars engagé est Tony Mose |
Troise, troise? Pas de troise ! |
Parle à mon Glock ma tête est malade |
La sienne saute sur la moquette |
D’Ox on ne se moque pas ! |
Si je dois buter, tuer pour le fric |
Si je dois tirer, flinguer pour ma clique |
S’il me faut choisir entre toi et moi |
Tu sais ce que je peux t’faire: |
Black Mafia, tu sais quoi pas m’faire |
Si je dois buter, tuer pour le fric |
Si je dois tirer, flinguer pour ma clique |
S’il me faut choisir entre toi et moi |
Tu sais ce que je peux t’faire: |
Black Mafia, tu sais quoi pas m’faire |
Devant chez moi sont postés deux hommes au fort torse |
Forcément nocifs: portent des Borsalinos |
J’arrive par derrière, en égorge un, il purge |
L’autre avant de mourir à son tour donne Tony Mose |
On dit par-ci par-là qu’il pourrait piéger mon gare-ci |
L’archi-fils de pute, l’artificier Tony ! |
Le contrat est sur moi, Pucc' il faut que je m’organise |
Faire flipper la firme, qu’elle balise quand je verbalise |
Partons visiter Tony Mose, forte surprise: |
Ma porte close, ma piaule explose |
A ma gauche miaule un Merco 5-O-O SL, c’est celle de T-O-ny M-O-se |
Vroom, je le suis comme une star par une suceuse avec ma Lexus |
Négus du crime de la dream-team des Hitmen |
Je suis caché dans le sapin devant chez lui, la nuit tombe |
10 rue Prizzi, ici habite Tony Mose |
Les chiens sont die, j’ai empoisonné leurs Friskies |
Ils sont froids comme des Mister Freeze |
Et puisqu’il fait frisquet je caille presque |
La vitre est brisée. L’alarme neutralisée |
En guise d’arme: Glock 16 |
Je me bloque au téléphone |
Démonte la chose, j’y mets le truc |
Je mate par la vitre: il pleut, c’est la pleine lune |
L’imbécile pionce, je remonte le combiné de c’pouilleux |
Quitte son pav' douillet |
Saisis mon Bouygues |
Si je dois buter, tuer pour le fric |
Si je dois tirer, flinguer pour ma clique |
S’il me faut choisir entre toi et moi |
Tu sais ce que je peux t’faire: |
Black Mafia, tu sais quoi pas m’faire |
Si je dois buter, tuer pour le fric |
Si je dois tirer, flinguer pour ma clique |
S’il me faut choisir entre toi et moi |
Tu sais ce que je peux t’faire: |
Black Mafia, tu sais quoi pas m’faire |
Content, quand je remonte la pente j’tombe |
On va me régler mon compte comme à Tombstone |
Mes Clarks étaient liées par les lacets comme une farce |
Parce que tout à l’heure j’avais du mal à marcher |
J’entends quelqu’un rire: «Ha ha ha ha ha !» |
«- Est-ce toi Tony? |
— Non, non, non, non, non !» |
Il me dit: «C'est pire» |
Quand je demande: «T'es qui, t’es qui, t’es qui ?» |
On me répond: «Laisse ber-tom, c’est moi le boss, Tino Biniki.'' |
Un Uzi chargé dans la bouche |
Pendant qu’un barjot frappe mon crâne avec une matraque |
Un fusil à pompe braqué sur la nuque |
Tout ça une bande sur les yeux en route vers la planque |
Dans la salle de torture cette ordure dit: |
«Pucc, t’es fini voilà le…» |
(Puccino never dies !) |