Informazioni sulla canzone In questa pagina puoi trovare il testo della canzone Début d'empire, artista - Bigflo & Oli. Canzone dell'album La vraie vie, nel genere Рэп и хип-хоп
Data di rilascio: 02.11.2017
Etichetta discografica: Polydor France
Linguaggio delle canzoni: francese
Début d'empire(originale) |
Délaisser les amis |
Passer toute la nuit dans le labo avec Oli |
Ramener le Hip-Hop à la vie |
On a mis juste les rimes et les accords |
Et on a pas changés le monde, non pas encore |
J’annule la trêve et puis je pars à l’attaque |
Mon pote m’a dit |
«Tu vis ton rêve pendant qu’je taffe à la fac |
Donc j’en ai rien à foutre que tu t’plaignes faut qu’t’intègres |
Ici on aimerait tous avoir tes problèmes» |
Il a raison mais dans l’fond c’est pas si facile |
La pression et toutes ces nouvelles choses qui m’arrivent |
Avec Oli on s’est dit que jamais on céderait |
J’veux que celui qui écoute ce son sache que c’est vrai |
Ouais j’veux qu’il sache tout ce que j’ai au fond des tripes |
Que j'écris c’que je crie, que je vis c’que je rappe |
Que je taffe avec envie même si parfois je titube |
Que je gratte toute la nuit pour qu’mon soleil brille plus |
Le désert, à marcher des heures et des heures |
Et on s’arrêtera pas tant qu’on sera pas les meilleurs |
C’est que le début, on continue le tournoi |
On sera jamais à la mode donc on sera toujours là |
Les pros d’mon milieu sont des menteurs, crois pas qu’ils nous ressemblent |
Ils oublient qu’la musique ça s’calcule pas, non ça s’ressent |
Donc allez vous faire foutre vous et tous vos collègues |
Ma vraie victoire c’est qu’on chante mes sons dans mon ancien collège |
Merci à tous pour votre soutien d’enfer |
A tous les bras mis en l’air, à tous les rappeurs en herbe |
On a besoin de vous, les visionnaires qui nous élèvent |
Asseyez-vous, vous êtes les réalisateurs de nos rêves |
Y’a pas longtemps j’ai changé, j’me suis accepté |
J’ai traversé le miroir, et j’ai enlacé mon reflet |
Un câlin avec moi-même, ça peut te sembler taré |
Mais si tu ressens d’la haine, tu devrais faire pareil |
Être adulte c’est pas boire du café, fumer des clopes |
C’est respecter sa famille et prendre soin de ses proches |
Et je sais que j’peux faire mieux |
J’veux bien en devenir un si j’suis pas obligé de devenir sérieux |
J’suis fier quand même, on va pas s’mentir |
De toutes ces salles à remplir, de notre début d’empire |
J’ai décidé de faire le ménage et je l’ai eu mon Tourbus 2 étages |
J’ai mis Pikachu dans une boîte, à la prochaine l’ami |
Faut j’grandisse, dur de s’dire, que j’en ai bientôt 24 |
La suite des choses s’annonce grandiose |
Avec l’hermano dans l’cosmos en osmose |
Papa tes fils deviennent des hommes malgré leurs vies de bohème |
Toujours on met la gomme, appliqués dans nos poèmes |
Le début d’un royaume, les mains de frères qui se tiennent |
Tout ça en un album, imagine le deuxième |
Et même si peu d’gens veulent le croire |
On a pris rendez-vous, on attend l’heure de gloire |
On nous a dit «c'est dingue, vous avez pas changé |
N’oublie pas d’où tu viens, tu pourrais bientôt rentrer» |
Parfois l’avenir chuchote mais j’l’entends pas |
Yanis me dit «la vraie vie, tous nos problèmes c’est quand qu’t’en parles?» |
Je fais le pitre mais je flippe dans l’fond |
T’as vu ce qu’on vient de vivre? |
Penses-y pour ta prochaine chanson |
De belles rencontres sur mon parcours |
Les hypocrites comptent pas |
J’pense à mon daron et sa guitare qui a plus d’contrat |
En studio, ma vie d’bohème crée des barrages |
Peur de dire «désolé j’ai concert» le jour d’mon mariage |
J’voudrais abandonner quand parfois ce monde me dégoûte |
Mais il y a ce père qui me chuchote «les gars mes gosses vous écoutent» |
Ma grand-mère vient d’Algérie, dur comme ses fins d’mois |
J’vais fêter mes 20 piges au Zénith et à l’Olympia |
J’ai choisis d'être honnête ouais et d’kicker la vérité |
Rien à foutre j’profite, si ça s’arrête c’est que j’l’ai pas mérité |
On va chanter et changer le monde dans la foulée |
J'écris pour entendre le «Bravo» d’Flo quand il écoute mon couplet |
Merci les gars pour les coups d’pouces |
Pour tout vos mots dans mes coups de blues |
Les frangins, faite ça bien mais 'steuplé parlez plus de Toulouse |
La mort laisse-moi une heure que j’rappe une dernière fois |
À la poursuite du bonheur qui est pt'être derrière moi |
J’voulais le vivre avec mon frère, que tous nos rêves s'étendent |
J’m’en fous d’la villa sur la mer si c’est pour être seul dedans |
Mes potes me disent «fais-le pour nous» |
Ils m’prennent tous pour un fou |
Au concert j’me suis vu gamin la main en l’air dans la foule |
Dans l’champ des possibles, j’ai jeté une graine hier soir |
Malpoli, j’parle la bouche pleine ouais pleine d’espoir |
Deux frères, un visionnaire |
La vie c’est pas qu’l’argent, le principal c’est d'être heureux… |
et millionnaire |
J’déprime à la conquête d’une fille honnête |
On m’dit «fais gaffe l’amour c’est rare et c’est pt'être le pire remède» |
En attendant j’malmène mon corps et j’mets mon cœur en quarantaine |
Et j’enchaîne de ville en ville, de pleurs en rires, de scène en scène |
Seul, place du Cap', j’repense à mon avenir |
Mes ennemis sont derrière moi, mais j’les vois venir |
Je passe devant le McDo', j’ai des potes qui y taffent |
Eux enchaînent après la fac, moi j’rappe et j’me plains c’est ça l’pire |
On m’paie pour m’voir, on fait pleurer des filles |
J’me sens con car dans l’fond, j’ai jamais sauvé des vies |
Ouai taff en dur, c’est que l’début de l’aventure sois-en sûr |
Devant l’mur ils censurent mais je sais qu’les talents durent |
Les poings serrés, mon pote a juré sur la Mecque |
Comme j’ai pas d’religion moi j’ai juré sur ma mère |
On s’est promis d’rien oublier, sur sa tête et sur la mienne |
Il m’a tendu la main et j’ai juré d’faire la même |
Chers détracteurs, j’serai bientôt le meilleur faut l’admettre |
J’préfère enfoncer les portes ouvertes que de m’jeter par la fenêtre |
Merci pour vos lettres, dur de tout lire pour être honnête |
Quand on s’croise pour la première fois, j’ai l’impression de vous connaître |
Pourquoi moi? |
un p’tit sudiste en manque de confiance |
J’croise les doigts, la tête encore dans les rêves de la veille |
J’y crois pas mais petit à petit j’en prends conscience |
Et puis toi, imagine juste que tu peux faire pareil |
C’est la fin des vendus qui face aux micros mentent |
Elle dit «j'suis contente pour Oli mais Olivio m’manque» |
Je fixe le vide tout en haut de la tour |
Un pied dans la cour des grands maintenant j’veux être le plus grand de la cour |
Et même si peu d’gens veulent le croire |
On a pris rendez-vous, on attend l’heure de gloire |
On nous a dit «c'est dingue, vous avez pas changé |
N’oublie pas d’où tu viens, tu pourrais bientôt rentrer» |
(traduzione) |
Abbandona gli amici |
Passa tutta la notte in laboratorio con Oli |
Riportare in vita l'hip-hop |
Mettiamo solo le rime e gli accordi |
E non abbiamo cambiato il mondo, non ancora |
Chiamo la tregua e poi vado all'attacco |
Me l'ha detto il mio amico |
"Stai vivendo il tuo sogno mentre lavoro al college |
Quindi non me ne frega un cazzo che ti lamenti, devi integrare |
Qui vorremmo tutti avere i tuoi problemi" |
Ha ragione, ma in fondo non è così facile |
La pressione e tutte queste cose nuove che mi accadono |
Con Oli ci siamo detti che non ci saremmo mai arresi |
Voglio che chiunque ascolti questo suono sappia che è vero |
Sì, voglio che sappia tutto quello che ho dentro le mie viscere |
Che scrivo ciò che urlo, che vivo ciò che rappo |
Che sbuffo d'invidia anche se a volte barcollo |
Che mi gratto tutta la notte in modo che il mio sole brilli di più |
Il deserto, camminando per ore e ore |
E non ci fermeremo finché non saremo i migliori |
È solo l'inizio, continuiamo il torneo |
Non saremo mai alla moda, quindi saremo sempre qui |
I professionisti del mio ambiente sono bugiardi, non credo che assomiglino a noi |
Dimenticano che la musica non si calcola, no, si sente |
Quindi vaffanculo a te e a tutti i tuoi colleghi |
La mia vera vittoria è far cantare le mie canzoni nel mio vecchio college |
Grazie a tutti per il vostro straordinario supporto |
A tutte le braccia in aria, a tutti i rapper in erba |
Abbiamo bisogno di voi, i visionari che ci sollevano |
Siediti, sei il realizzatore dei nostri sogni |
Non molto tempo fa sono cambiato, ho accettato me stesso |
Ho attraversato lo specchio e ho abbracciato il mio riflesso |
Un abbraccio con me stesso, potrebbe suonarti pazzesco |
Ma se provi odio, dovresti fare lo stesso |
Essere adulti non è bere caffè, fumare sigarette |
È rispettare la propria famiglia e prendersi cura dei propri cari |
E so che posso fare di meglio |
Voglio diventarlo se non devo fare sul serio |
Sono ancora orgoglioso, non ci mentiremo a vicenda |
Di tutte queste stanze da riempire, del nostro inizio di impero |
Ho deciso di pulire e ho preso il mio Tourbus a 2 piani |
Ho messo Pikachu in una scatola, al prossimo amico |
Devo crescere, difficile da dire, che presto avrò 24 anni |
Quello che succede dopo sembra fantastico |
Con l'hermano nel cosmo in osmosi |
Papà, i tuoi figli diventano uomini nonostante le loro vite da bohémien |
Mettiamo sempre la gomma, applicata nelle nostre poesie |
L'inizio di un regno, le mani dei fratelli che si stringono |
Tutto in un album, immagina il secondo |
E anche se poche persone vogliono crederci |
Abbiamo preso appuntamento, aspettiamo l'ora della gloria |
Ci è stato detto "è pazzesco, non sei cambiato |
Non dimenticare da dove vieni, potresti tornare presto" |
A volte il futuro sussurra ma io non lo sento |
Yanis mi dice "la vita reale, tutti i nostri problemi, quando ne parli?" |
Sono il clown ma sto impazzendo sullo sfondo |
Hai visto cosa abbiamo appena passato? |
Pensaci per la tua prossima canzone |
Bellissimi incontri nel mio viaggio |
gli ipocriti non contano |
Penso al mio daron e alla sua chitarra che non ha più contratto |
In studio, la mia vita bohémien crea ostacoli |
Paura di dire "scusa, ho un concerto" il giorno del mio matrimonio |
Vorrei arrendermi quando a volte questo mondo mi disgusta |
Ma c'è questo padre che mi sussurra "ragazzi, i miei figli vi ascoltano" |
Mia nonna viene dall'Algeria, dura come la sua fine mese |
Festeggerò i miei 20 anni allo Zénith e all'Olympia |
Ho scelto di essere onesto sì e di prendere a calci la verità |
Non me ne frega un cazzo, mi sto divertendo, se si ferma è perché non me lo meritavo |
Canteremo e cambieremo il mondo al passo |
Scrivo per ascoltare il "Bravo" di Flo quando ascolta i miei versi |
Grazie ragazzi per il pollice in su |
Per tutte le tue parole nel mio blues |
Fratelli, fatelo bene pero' stupido parlare di più di Tolosa |
La morte mi lascia un'ora che rappo per l'ultima volta |
Alla ricerca della felicità che potrebbe essere dietro di me |
Volevo viverlo con mio fratello, lasciare che tutti i nostri sogni si allungassero |
Non m'importa della villa sul mare se è solo per starci dentro |
I miei amici mi dicono "fallo per noi" |
Mi prendono tutti per uno stupido |
Al concerto mi sono visto da bambino con la mano per aria in mezzo alla folla |
Nel campo delle possibilità, ieri sera ho lanciato un seme |
Rude, parlo con la bocca piena sì piena di speranza |
Due fratelli, un visionario |
La vita non è solo una questione di soldi, l'importante è essere felici... |
e milionario |
Sono depresso per la conquista di una ragazza onesta |
Mi dicono "stai attento, l'amore è raro e potrebbe essere il peggior rimedio" |
Nel frattempo abuso del mio corpo e metto il mio cuore in quarantena |
E vado di città in città, dalle lacrime alle risate, di scena in scena |
Da solo, place du Cap', penso al mio futuro |
I miei nemici sono dietro di me, ma li vedo arrivare |
Passo il McDo', ho amici che ci lavorano |
Continuano dopo il college, io rappo e mi lamento, questo è il peggio |
Mi pagano per vedermi, fanno piangere le ragazze |
Mi sento stupido perché in fondo non ho mai salvato vite |
Sì, duro lavoro, è che l'inizio dell'avventura sia sicuro |
Davanti al muro censurano ma so che i talenti durano |
I pugni serrati, il mio amico ha giurato sulla Mecca |
Poiché non ho religione, ho giurato su mia madre |
Abbiamo promesso di non dimenticare nulla, sulla sua testa e sulla mia |
Allungò la mano e io giurai di fare lo stesso |
Cari detrattori, presto sarò il migliore che dovete ammettere |
Preferirei sfondare le porte che buttarmi fuori dalla finestra |
Grazie per le tue lettere, è difficile leggerle tutte a dire il vero |
Quando ci incontriamo per la prima volta, mi sembra di conoscerti |
Perché io? |
un po' del sud in mancanza di fiducia |
Incrocio le dita, la testa ancora nei sogni del giorno prima |
Non ci credo ma piano piano me ne rendo conto |
E poi tu, immagina di poter fare lo stesso |
È la fine del tutto esaurito che affronta la menzogna dei microfoni |
Dice "Sono felice per Oli ma mi manca Olivio" |
Fisso il vuoto in cima alla torre |
Un piede nella grande lega ora voglio essere il più grande nel cortile |
E anche se poche persone vogliono crederci |
Abbiamo preso appuntamento, aspettiamo l'ora della gloria |
Ci è stato detto "è pazzesco, non sei cambiato |
Non dimenticare da dove vieni, potresti tornare presto" |