| Touche pas à mon p’tit non, touche pas à ma p’tite non !
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| À côté de c’que j’vais te faire, c’est rien la chaise électrique
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| Cherche pas d’excuses, t’abuse, j’peux pas comprendre ton trip
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| J’vais te défoncer avec un cric et t’arracher les tripes
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| Moi j’suis le tonton à ma nièce
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| L’achète pas avec des bonbons si tu veux pas finir en pièces
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| Ça m’est intolérable, ton cas nécessite des soins
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| Tu toucheras pas à c’qui est à moi, même si t’as une case en moins
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| Mon émeraude, ma princesse est aussi ma faiblesse
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| Des prédateurs la guettent, rôdent aux abords de la tess
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| Et les enfants jouent, insouciants, ne se doutent de rien
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| Ça fait des heures que ce pervers les matent, embusqué dans un coin
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| Il en prend un par la main et l’fait monter dans la caisse
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| Nan, laisse tomber les détails Mokless
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| Le mot tragique risque de prendre tout son sens, alors cesse
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| Si tu veux pas qu’on fasse la une de la presse
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| Touche pas à mon p’tit, touche pas à ma p’tite
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| À côté de c’que j’vais te faire, c’est rien la chaise électrique
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| Cherche pas d’excuses, t’abuse, j’peux pas comprendre ton trip
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| J’vais te défoncer avec un cric et t’arracher les tripes
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| Ne mets surtout pas à l'épreuve mon amour paternel
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| Car on trouvera les preuves de mon crime à côté d’la maternelle
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| Ne rôde pas dans l’secteur, les p’tites sœurs sont dans la place
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| T’as ni la gueule du Père Noël, ni même celle d’un marchand d’glaces
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| Ni bonbons, ni cadeaux, ou j’te passe par la fenêtre
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| Joue pas les tontons ou l’ado qui passe la nuit sur internet
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| Sur la prunelle de mes yeux, la mille-fa c’est sacré
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| Un cheveu d’un p’tit neveu, et tu pourrais t’faire massacrer
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| Si tu cries dans la nuit, c’est que j’t’ai brûlé à l’essence
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| J’suis obligé de voler ta vie si t’as volé son innocence
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| C’est les cloches et le glas qui sonneront les matines
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| J’te suivrais où tu iras jusqu’en Amérique Latine
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| Alors…
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| Touche pas à mon p’tit, touche pas à ma p’tite
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| À côté de c’que j’vais te faire, c’est rien la chaise électrique
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| Cherche pas d’excuses, t’abuse, j’peux pas comprendre ton trip
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| J’vais te défoncer avec un cric et t’arracher les tripes
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| Être parent sous-entend être vigilant au quotidien
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| On se sent mourir quand on n’a pas su protéger les siens
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| La compassion pour la famille, laisse place à la rancœur
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| J’ai mal de voir ce père qui pleure au journal de 20 heures
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| Tu l’imagines rentrer à la casa, et se faire le film
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| De l’après midi horrible qu’a du passer sa fille
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| Même mon pire ennemi j’lui souhaite pas ça
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| Tu l’imagines vivre avec l’image de la dernière fois qu’il l’embrassa
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| C’est l’genre de passé crasseux qui ne se lave pas comme un drap sale
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| J’garantis une addition salé pour celui qui fera ça
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| Et si tu penses échapper à notre sentence
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| Sache qu’y’a un mec de Barbès dans toutes les prisons d’France
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| Touche pas à mon p’tit, touche pas à ma p’tite
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| À côté de c’que j’vais te faire, c’est rien la chaise électrique
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| Cherche pas d’excuses, t’abuse, j’peux pas comprendre ton trip
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| J’vais te défoncer avec un cric et t’arracher les tripes
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| Il traîne le soir comme un chien dans un tunnel interminable
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| N’a pas d’gosse, mais veut l’tien, et n’a rien sous l’imperméable
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| Autour du square il attend mais ce n’est pas le marchand d’sable
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| Laissez-moi le découper avant qu’il plaide non coupable
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| Laissez-moi le stopper avant qu’il ne commette l’irréparable
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| Nooon ! |