Informazioni sulla canzone In questa pagina puoi trovare il testo della canzone One Shot, artista - Dub Inc. Canzone dell'album Dans le décor, nel genere Регги
Data di rilascio: 31.07.2005
Etichetta discografica: Diversité
Linguaggio delle canzoni: francese
One Shot |
One shot ! blood ! another killa' |
Sarce teharaste tcharchoreune émadeune |
Blood, mais le sang appelle le sang ! |
Ahbeusse el guierrant del moth soffle medeun |
Shoot chaque guerre comme un attentat ! |
Quand les bombes claquent c’est une trêve pour un combat |
Et il n’y aura pas de survivants ! |
Et toutes ces victimes c’est les mêmes à chaque fois |
Partir pour une fin horrible |
Parce que leur vie n'était qu’une horreur sans fin |
Mais dis-moi qui est vraiment la cible … |
(Again) Ces martyrs sont partis pour cette fin horrible |
Parce que leur vie n'était qu’une horreur sans fin |
Mais dis-moi qui est vraiment la cible |
Lorsque revient l’odeur de la mort, et partout son parfum |
Car le sang coule, sur le Coran, la Torah ou sur la Bible |
C’est au nom de Dieu que les peuples on assassine |
Voilà les progrès maintenant que c’est l’an 2000 |
C’est la peur qui augmente et la terreur qui culmine |
L’occident entraîne tout dans sa chute dans l’abîme |
Pendant que le Sud sacrifie toujours ses victimes |
Ceux qui sont en première ligne sont toujours les civils |
Et ce sont les monstres qui dominent |
Laisse-les parler ! |
Tous ces bad man, tous ces gars qui vannent l’arme |
Qui condamnent, essaient de nous étouffer |
Laisse-les parler ! |
Et viens chanter pour ces héros |
Au regard qui brille de Bagdad à Sarajevo |
Laissez parler, sur la misère du monde, trafiquants d’armes |
Les proxénètes embauchent mais l’Etat ne verse pas de larmes |
Laissez parler, il est temps que cessent les guerres |
Trop de mort ont déjà leur pierre |
Sarce taharaste I wot el woct |
Bezef Edameun arbeuse arbeusse alnewe ahianne |
Sarce tararaste Del moth role nar vavanar yf kar |
Sarce taharaste Aouct medeun salene héeuni |
Car lorsqu’un homme tue un homme |
C’est l’humanité qu’il blesse ! |
Mais cette spirale jamais ne cesse |
De cette loi fondamentale tu te défends |
Quand on t’agresse |
Mais le mal appelle le mal et les âmes |
Restent vengeresses |
Non non non mais quel gagnant dans une guerre |
Chaque camp compte le corps |
Et il ne reste que poussière |
Non non non tant de gens qui vivent l’enfer |
Un homme tue un homme |
C’est comme si il tuait son frère |