| On sait qu’il faut savoir passer sur des mots coupants comme des lames
|
| Ne pas compter, ne pas juger le quotidien bancal
|
| On sait qu’il faut raccrocher quelques moments, quelques wagons
|
| Qu’il faut parfois oublier quelques désillusions
|
| Ce n’est pas de la faiblesse c’est de la maturité
|
| Accepter qu’il faut qu’on laisse, certains de jours de côté
|
| Mas tu dois sentir comme j’y crois, comme j’y tiens
|
| Qu’au delà de tout, il y a, la force des liens
|
| mais tu dois sentir comme j’y crois, même si c’est pas tous les matins
|
| Entre la vie, ton cœur et moi, la force des liens
|
| On est jamais arrivés, on cherche toujours d’autres maisons
|
| On veut se réinventer, pour un oui, pour un non
|
| Tant qu’on sait se rattraper et rire ensemble de nos errances,
|
| Le reste au fond j’ai mes idées, n’a pas d 'importance
|
| Ce n’est pas de la faiblesse c’est de la maturité
|
| Ce bateau qui est plein d’ivresse, j’en aime aussi la beauté
|
| Mais tu dois sentir comme j’y crois
|
| Tu dois sentir comme j’y tiens
|
| Qu’au delà de tout il y a la force des liens
|
| Oui tu dois sentir comme j y crois
|
| Même si c’est pas tous les matins
|
| Entre la vie, ton cœur et moi, la force des liens
|
| Je la sers fort, jusqu'à demain
|
| Parfois elle vient, parfois elle va Elle s'électrise entre nos mains
|
| Implacablement, elle revient
|
| Et tu dois sentir comme j’y crois
|
| Tu dois sentir comme j’y tiens
|
| Qu’au delà de tout il y a la force des liens
|
| Oui tu dois sentir comme j’y crois
|
| Même si c’est pas tous les matins
|
| Entre la vie ton cœur et moi
|
| Entre la vie ton cœur et moi
|
| Je la sers fort entre mes mains. |