| Tombe le soir, je marche au hazard
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| Et puis va savoir pourquoi, je repense à toi
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| A tout nos rêves sans fin
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| Quand nous appartenait demain
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| Rien n’pourrait nous séparer
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| Entre nous ce s’rait, toujours là l’une a l’autre
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| L’amitié sans faute
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| S’il faut croire que tout s’enfuit, au moins ça c'était joli
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| Moi j’me rappelle on était comme des soeurs
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| On se parlait de tout
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| De nos joies, nos malheurs
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| Plus rien n’existait autour, on n’avait même pas peur
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| C'était fort mais c'était pas d’l’amour
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| Moi j’me rappelle t’en avais des rancœurs, pour tous ceux
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| Qui ne t’ont jamais renvoyé l’ascenseur
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| A présent je n’ai de toi que ton répondeur
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| C'était fort mais c'était pas d’l’amour
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| Tes passions, tes désirs te donnent-ils le sourire?
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| As-tu fait tous ces voyages, passé des orages
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| Aurais-je des nouvelles de toi?
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| Moi si tu veux savoir, ca va
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| Je n’ai pas tout réussi mais j’aime ma vie
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| Et j’essaie de protéger c’qui fait le cœur léger
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| Ce qui fait la vie plus douce
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| Pour pas qu'ça s’en aille en douce
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| Moi j’me rappelle on était comme des soeur
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| On se parlait de tout
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| De nos joies, nos malheurs
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| Plus rien n’existait autour, on n’avait même pas peur
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| C'était fort mais c'était pas d’l’amour
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| Moi j’me rappelle t’en avais des rancœurs, pour tous ceux Qui ne t’ont jamais
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| renvoyé l’ascenseur
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| A présent je n’ai de toi que ton répondeur
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| C'était fort mais c'était pas d’l’amour |